Rapporté par de nombreux commerçants et teneurs de stands aux marchés qui connaissent les têtes pour les voir en été régulièrement, des Parisiens (dont beaucoup sont des Bretons travaillant ou étudiant à Paris, il faut le préciser) continueraient d'arriver en Bretagne, clandestinement, pour y rejoindre leur résidence secondaire.
On suppose que les trajets empruntés se font de nuit via des routes secondaires afin d'éviter les contrôles de la gendarmerie ou de la police de la route. Des trajets facilités aujourd'hui par les directions GPS très précises dont les étapes peuvent être planifiées au fur et à mesure selon les circonstances et les informations qui circulent sur les barrages en place.