Les élections se suivent et nous ramènent aux mêmes problèmes toujours posés mais jamais résolus. Qu'elles soient européennes, nationales, régionales, départementales, municipales… je vous fais grâce de celles au second
Les élections se suivent et nous ramènent aux mêmes problèmes toujours posés mais jamais résolus. Qu'elles soient européennes, nationales, régionales, départementales, municipales… je vous fais grâce de celles au second degré des communautés de communes pour lesquelles la loi demande à ce que le citoyen puisse élire au suffrage direct des élus qui lèvent l'impôt : mais là l'illégalité est institutionnalisée et l'électeur ignoré. Pour quelles raisons ces reculades permanentes ? L'échafaudage dispendieux tient encore péniblement mais pour combien de temps ? Faudra-t-il que le peuple se révolte ?
Les élections européennes n'intéressent personne, sauf les élus, pour lesquels c'est devenu une véritable séance de rattrapage électoral après échec aux élections nationales. Avec une nouvelle méthode étonnante : celle de ne pas faire campagne !
Les causes de ce manque d'intérêt ?
- le découpage des circonscriptions électives pour ce vote, réalisé à coups de tranchoir administratif, digne de l'hégémonisme d'une minorité parisienne qui détient les rênes du pouvoir de quelque bord que soit la majorité et le mène selon ses principes, principes qui n'ont rien de républicain si ce n'est le nom, bien galvaudé. Aurons-nous seulement un élu pour les 4 millions de Bretons de la Bretagne historique ? Á titre indicatif, l'Irlande aura 12 élus pour 6 millions d'habitants.
- les lois européennes de subsidiarité qui devraient être appliquées depuis près de 2 ans, - ce qu'une entité au plus proche du citoyen peut faire, l'entité supérieure ne doit pas se substituer à celle-ci -.
- A quand la réunification de la Bretagne ? Toutes les modalités sont acquises pour la réaliser. Subsidiarité oblige et de plus, un peuple a droit à son territoire, cela fait partie des droits de l'homme.
- Á quand la signature de la Charte Européenne des langues minoritaires par la France, membre fondateur de l'Europe, si arrogante et pointilleuse avec les nouveaux entrants sur le droit des minorités ?
Evit ma vo un dibab gwirion ha rannoù evel m'eo dleet evit an dazont . Pour un vrai choix et un partage à bonne mesure pour l'avenir.
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