Put your name here

connexionS'accréditer | S'abonner | Se connecter | Faire un don
> Logo ABP
ABP e brezhoneg | ABP in English |
- Dépêche -
David Cameron et Alex Salmond ont signé un accord pour un référendum sur l'indépendance de l'Ecosse

Le référendum aura lieu en 2014. Contrairement à ce qu'annonce TF1, l'Ecosse n'est pas "une région du Nord du pays", mais un état autonome faisant partie du Royaume-Uni. Ceci étant

Philippe Argouarch pour ABP le 15/10/12 18:11

Le référendum aura lieu en 2014. Contrairement à ce qu'annonce TF1 à son JT du 15 octobre, l'Ecosse n'est pas "une région du Nord du pays", mais un état faisant partie du Royaume-Uni depuis 1707 et autonome depuis 1998. Ceci étant précisé, la déclaration de David Cameron, premier ministre de sa majesté, semble en partie adressée aux dirigenat de l'Espagne et dans une certaine mesure de la France qui ne reconnait même pas le droit de ses habitants de décider de quelle région ils veulent faire partie. "Je crois farouchement que l'Ecosse doit rester au sein du Royaume-Uni [...]. Mais le Royaume-Uni ne peut en aucune façon garder un pays en son sein contre la volonté de son peuple", a déclaré aux journalistes David Cameron.

En Espagne, ni les Basques, ni les Catalans ne veulent continuer à faire partie de cet état et le gouvernement de Madrid continue de nier même le droit à un référendum. Le Droit des peuples à disposer d'eux-même fait partie des droits fondamentaux. Ce principe est inscrit dans le premier préambule de la déclaration des nations-Unies, charte signée par tous ses membres.

Philippe Argouarch

Voir aussi :
mailbox
logo
Philippe Argouarch est un reporter multi-média ABP pour la Cornouaille. Il a lancé ABP en octobre 2003. Auparavant, il a été le webmaster de l'International Herald Tribune à Paris et avant ça, un des trois webmasters de la Wells Fargo Bank à San Francisco. Il a aussi travaillé dans des start-up et dans un laboratoire de recherche de l'université de Stanford.
Voir tous les articles de de Philippe Argouarch
Vos 34 commentaires
  kazh-koad an Are
  le Mardi 16 octobre 2012 08:46
Continuons, nous Bretons, à bâtir patiemment le renouveau de notre état autonome, pierre par pierre, qu'il y ait de la tempête ou du ciel serein, et nous aurons ce qu'ont les Ecossais et Catalans, et Basques. La victoire ne peut pas nous échapper. Nous avons le temps : le temps joue pour nous.
Nous avons été un état respecté et écouté dans toute l'Europe . Soyons fiers de notre passé et de nos ancêtres. Ha bec'h dezhi, tudoù!
(0) 
  Yann LeBleiz
  le Mardi 16 octobre 2012 16:31
La définition d'Etat autonome est toute relative, après 1707!
L'acte d'union de 1707 est l'équivalent de la nuit du 4 aout 1789 pour la Bretagne!
En 1707, l'Ecosse et l'Angleterre fusionnent leur institutions, avec le parlement anglais qui devient le parlement britanique, tout en restant à Londres!
En 1789, les institutions étatiques de la Bretagne sont "abolies" pour fusionner avec les institutions françaises parisiennes!
Pour l'Ecosse, cela se fait après une négociation et il reste un semblant de reconnaissance de la nation écossaise, jusqu'à Tony Blair et la remise en service du parlement écossais!
Pour la Bretagne, sans aucun mandat officiel quelques députés bretons auraient signés la fin des institutions bretonnes. La France transforme cette illégalité en légitimité et entre dans un lent mais efficace processus de négation de la nation bretonne par assimilation forcée à la nation française!
Au final, nous sommes sur un processus identique mais avec un minimum de morale démocratique du coté anglais!
Pour l'Ecosse, après 300 ans, le minimum de respect des anglais est redevenu du respect!
Pour la Bretagne, après 200 ans, l'attitude coloniale de la France s'enfonce dans un irrespect quasi unique en Europe! Pour la France, imaginer perdre démocratiquement la Bretagne, c'est perdre sa dernière colonie et ainsi son honneur mal placé d'ex-grande puissance!
Jusqu'à quand?!
(0) 
  Michel Prigent
  le Mercredi 17 octobre 2012 06:00
Les perspectives d'indépendance formulées par l'Ecosse et la Catalogne, voire des flamands, mettent mal à l'aise nos journalistes et commentateurs politiques formatés par le cathéchisme jacobin.
Ainsi, lundi 15 oct., le journaliste commentant les résultats des élections des sécessionistes flamands, conclut: "C'est l'Europe fédérale du repli sur soi." Encore un qui n'a pas assimilé la définition du fédéralisme.
Ce même jour, sur C'dans l'air, il est question du projet de référendum sur l'indépendance écossaise. Se trouve notamment présent mr Guliani (?) Pt de la fondation R.Schumann défenseur de l'Europe fédérale;
Tous les intervenants s'accordent à dire dont une femme spécialiste en droit constitutionel (pas mme Le Pourhiet, la copine à F. Morvan qui admire notre système jacobin) que ce sont les régions riches qui désirent faire sécession d'avec leur état national: Catalogne, Ecosse, flandre belge, lombardie, Pays Basque, et contrairement aux atitudes habituelles en France, personne ne tourne en dérision cette aspiration à l'indépendance ni ne pousse des hurlements comme pourraient le faire nos souverainistes de tout bord.
Guliani refroidit les vélléités des sécessionistes en rappelant que ces nouveaux pays devraient demander leur intégration à l'Europe et s'exposer au droit de véto dont dispose chaque membre officiel en tant qu'"Etat-Nation".
Il serait curieux de voir l'attitude de l'Espagne face à un référendum catalan légitimant son indépendance conformément au "droit des peuples à disposer d'eux-mêmes" inscrit à l'article 1 de l'ONU...Refus, répression, guerre intérieurs comme en Ex-Yougoslavie ? Quelle va être l'attitude de l'Europe ?
Ce scénario est proche et va mettre les institutions européennes à l'épreuve.
La crise ayant dévoilée au grand jour l'incurie gestionnaire des Etats "officiels", le phénomène ne peut que s'accélérer.
Et à ce moment (proche), j'observerais, non sans déplaisir les gesticulations impuissantes de nos souverainistes et nationalistes jacobins.
(0) 
  Ar Vran
  le Mercredi 17 octobre 2012 11:58
@michel prigent
Tout à fait d'accord avec vous
J ai regardé c est dans l air également et le raisonnement de M. Guliani est faux (encore un avis d un bureaucrate français qui non seulement ne comprend pas le sujet mais est perdu car trop formaté au national-étatisme français ) parce que dans l'hypothèse ou ces régions recouvrent leur indépendance, cela ne signifie pas la sortie de l'Europe puisqu'avant de devenir indépendantes, ces régions appartenaient à l'Europe! Donc parler de droit de veto de la part d autres états de l Europe a l égard de ces régions est totalement incongru!
Attention a ne pas mélanger le fait de demander son détachement particulier d un état d'Europe avec le fait de quitter l Europe. Aucune des dites régions ne demandent de quitter l 'Europe, au contraire....
À quand en Bretagne? Les Paris sont ouverts... 10 ans? Avant, après ?
(0) 
  Aristide
  le Jeudi 18 octobre 2012 11:09
@ Ar Vran
Non le droit international est très claire là-dessus même si ça vous parait inconcevable. Il y a notamment un protocole sur la succession d'État qui dit explicitement qu'une région qui fait sécession ne bénéficie pas des traités internationaux signés antérieurement. J’irai même plus loin en disant que la sécession rend automatique la sortie d'un membre de tous les traités internationaux. Toutes les partitions de par le monde ont nécessités que les impétrants demandent leur admission (L’Ex-Yougoslavie, le Timor-Oriental, le Soudan du Sud pour ONU ou Conseil de l'Europe,...).
Après, la première règle du droit international c'est le fait accompli : que les États se mettent d'accord avant la sécession pour que la région devienne membre automatiquement à l'indépendance ou que ceux-ci le fasse immédiatement à posteriori et personne n'y trouvera à redire, mais un accord des autres membres est de toute façon incontournable.
(0) 
  Ar Vran
  le Jeudi 18 octobre 2012 11:50
@Aristide
vue comme cela peut être. (sans compter que d'un point de vue juridique, je ne suis pas sûr que ce que vous décrivez s'applique aux traités européens, enfin...)
Mais avez-vous pensé au cas où c'est le nouvel état (l'ancienne région) qui est reconnue comme le successeur de l'ancien état (ex. en Espagne, où la catalogne nouvellement indépendante, reprend les "droits" de l'ancienne Espagne) et faisant sortir de fait la nouvelle Espagne (par le prétexte : rupture de la continuité et soutien d'autres pays européens...). Ce serait un joyeux b..., n'est-ce pas ?
Dans tous les cas, on verra bien mais ce qu'il faut avant tout dénoncer c'est cette pseudo-menace d'exclusion de l'europe qui comme vous le dites, ne se fera pas en raison du pragmatisme...
(0) 
  eugène Le Tollec
  le Jeudi 18 octobre 2012 12:30
Ar Vran
Une question de béotien
Les traités européens lient des états,mais tout état peut se réorganiser et tant que l'état supérieur reste un état de type fédéral,rien ne peut se passer niveau européen,l'Europe a en face d'elle le même état signataire (bien que sa réorganiisation ait été profonde).
D'autre part ,un des axes majeurs de l'Europe est de faire une Europe des régions dites "régions européennes") et cela soustend énormement de choses!
Le cas d'un resserrement français n'implique que la France.
Moi je ne cherche pas l'indépendance de la bretagne,je veux simplement une autonomie dans un fédéralisme.
La position de l'UE me fait revenir sur la réactualisation du concept "province" qui allie tous les principes ,je ne veux pas parler de la région Bretagne ,mais de la province BRETAGNE.
C'est la seule vérité,n'en déplaise à tous nos énarques.
(0) 
  eugène Le Tollec
  le Jeudi 18 octobre 2012 12:34
a tous
UNITE,et encore UNITE,tant que la pensée bretonne ne sera pas cohérente ,nous n'aurons jamais rien.
En vérité ,je vous le dis.
(0) 
  Aristide
  le Jeudi 18 octobre 2012 14:40
Les traités européens sont des traités internationaux. Après, comme je l'ai déjà dit, en droit international, ce qui compte c'est malheureusement le fait accompli et le droit du plus fort. Une France affaiblie pourrait difficilement s'opposer à l'indépendance de la Catalogne, alors qu'une Allemagne forte, soucieuse d'intégration politique, pourrait poussez au contraire pour une reconnaissance de nouveaux États indépendants. Aujourd’hui, la pression politique est clairement du côté des régions.
À savoir également que d’après le même protocole de l’ONU sur les successions d’États, les limites administratives internes devient frontières internationales et qu’il est compliqué de revenir dessus. Ainsi, la Flandre ou la Catalogne ne pourraient avoir de droits légaux sur respectivement la Flandre française et Bruxelles (Région à part entière en Belgique) ou le Roussillon. C’est également cette raison qui fait qu’il n’est légalement pas possible de détacher les communes serbes du Nord du Kosovo pour les réintégrer à la Serbie, ce qui serait plus simple pour tout le monde.
Oui tous les États peuvent se réorganiser en leur sein comme ils veulent car ce sont eux seuls qui ont signés les traités mais tout en respectant les pouvoirs locaux, ce qui est garantie dans certains traités (dont la Charte de l'UE sur les droits de l'homme).
Pour ce qui est de "l'Europe des régions" il ne me semble pas que le concept figure tel quel dans un traité bien que les organisations types "eurorégions" par exemple, ainsi que les dotations européennes calculées sur une base régionale (fonds de solidarité, fonds structurel,...) approchent de l'idée. Une Euro région « celtique » (Irlande, Galice, Pays de Galles, Bretagne,…) regroupant les régions ayant une histoire et des problématiques communes (comme l’éloignement du « centre », la gestion de la mer et des ports) pourrait être intéressante.
Une solution facile et démocratique à ce problème serait que les traités européens soient co-signés par le chef de l'État et les ministres-présidents des régions le constituant, puis ratifié par le Parlement national et les parlements régionaux. En cas de disparition ou partition de l'État, les régions déjà signataires demeurent : y penser pour le prochain traité !
C'est la seule solution simple que je vois, mais elle nécessite d'être reproduite pour l'UE, l'OTAN, l'ONU, le Conseil de l'Europe et l'espace Schengen (qui n'est pas juridiquement lié à l'UE).
(0) 
  eugène Le Tollec
  le Jeudi 18 octobre 2012 17:08
Aristide
Dans notre réactualisation du concept "Province ",nous définissons une province transfrontalière dont l'existence appartient à deux pays,elle est donc sous l'autorité de deux états tout en étant autonome
Pour moi, c'est un aspect du fédéralisme (souplesse)
Ce que je dis:
"......
INTERPROVINCIALITES
Article II -VI - 1
Dans le cadre de l’acte de dévolution et en respect aux lois fédérales, les lois, décrets, règlements, ordonnances et directives concernant les coopérations entre provinces (ex -région) doivent être révisés afin d’acquérir la souplesse et l’efficacité des objectifs économiques provinciaux, fédéraux et européens et la simplification fédérale recherchée. Il en est ainsi des lois autorisant et codifiant les communautés de provinces, syndicats mixtes de province et communautés transfrontalières.
Communauté de province
Article II -VI - 2
Dans les conditions prévues par la loi de dévolution et l’état fédéral, les provinces peuvent se regrouper pour des objectifs de développements économiques, sociaux et culturels d’importance européenne en particulier au niveau d’intérêts transfrontaliers ou d’accession à la dimension économique européenne.
Chaque collectivité garde ses tâches et prérogatives, seules sont déléguées les compétences issues d’une subsidiarité commune des états envers leurs provinces en regroupement.
Article II -VI - 3
Aucune collectivité provinciale ou locale ne peut exercer de tutelle sur une autre, cependant lorsque l’exercice d’une compétence identifiée ou l’atteinte des objectifs communs nécessitent le concours de plusieurs collectivités provinciales, l’état fédéral peut autoriser l’une d’entre elles ou le groupement considéré à organiser les modalités de leurs actions communes ( référendum, statuts, dimensionnement des responsabilités et tâches de chacune).
Article II -VI - 4
Dans les conditions fixées par la loi fédérale, lorsqu’il est envisagée de créer une communauté de province pouvant être dotée d’un statut particulier ou de modifier l’organisation de la collectivité ou du groupement concerné , les électeurs des provinces soumises au regroupement ou modification sont consultés par voie de référendum.
..."
Ce qui permettrait à deux états membres ,ne serait ce que pour des raisons économiques ou de culture de créer des entités communes.
(voir le problème belge actuel)
Cela est un point que l'UE doit étudier
exemple: Catalogne ,Pays basque,Flandre.
rappel:
l'europe doit gérer des états mais de façon régalienne.
et non par un centralisme outrancier!
M. Le Tollec
(0) 
  jorj t-g
  le Jeudi 18 octobre 2012 17:14
Pour en revenir au deuxième message qui dit:
'En 1789, les institutions étatiques de la Bretagne sont «abolies» pour fusionner avec les institutions françaises parisiennes!'
'Pour la Bretagne, sans aucun mandat officiel quelques députés bretons auraient signés la fin des institutions bretonnes.'
A cela je réponds:
Les députés bretons ont toujours refusé de signer le procès verbal du 4 au 5 aout car ils n'en avaient pas le droit.
Seul les députés bretons réuni au parlement de Bretagne aurait pu suicider les institutions bretonne mais voila les états de Bretagne ne se sont jamais réuni depuis le 5 aout 1789!
La Bretagne n'a donc jamais fusionné avec la france, les états de Bretagne sont depuis en déshérence et il n'en tient qu'aux bretons de remettre les choses à leur place!
Rien n'a été abolie officiellement ni par nous les bretons ni par la france
Notre situation n'est pas tout à fait celle de l'Ecosse.
Merci à Mr Melennec pour son blog hautement instructif ainsi qu'a KAD Kelc'h An Dael pour avoir enfin pris les choses en main!
Bevet Breizh Dieub, Bevet Bro-Skoz Dieub!
(0) 
  SPERED DIEUB
  le Jeudi 18 octobre 2012 18:38
Oui mais si la noblesse bretonne à l'époque a refusée de siéger aux états généraux c'était plus par pour ses privilèges que par souci de défendre les droits de la Bretagne c'est une erreur historique qui est reconnue aujourd'hui par les descendants de celle ci voir le site tud c'tchentil .La révolte des bonnets rouges cent ans auparavant était un évènement dramatique annonciateur de tous ces problèmes pour le moins contradictoires et qu'il ne faut pas forcément interpréter par rapport à la situation actuelle
(0) 
  jorj t-g
  le Jeudi 18 octobre 2012 19:08
Tort ou raison peut importe, le résultat est: les Etats de Bretagne ne se sont jamais sabordé.
A nous de reprendre le flambeau de nos institutions en toute légalité, ils n'auront rien à dire.
Nous avons juste à les adapter et faire mieux que nos ancêtres.
(0) 
  Jean-loup LE CUFF
  le Jeudi 18 octobre 2012 22:18
A tous les intervenants, pas de prosélytisme de ma part, juste une information:
http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=27305
(0) 
  eugène Le Tollec
  le Vendredi 19 octobre 2012 09:33
SPERED DIEUB
Mais à cette époque le peuple breton a été outragé par ses élites imprégnées par la pensée des lumières,ces gens voulaient devenir les patrons en mettant en place l'outil nécessaire à cela ,comme dans le reste de la France (voir ce qui s'est passé ailleurs ).
La révolution a tué l'âme des peuples,je peux dire cela car je ne suis pas de gauche ni soumis à la droite,ni au centre, politiquement.
J'analyse et crée ma liberté dans les méandres du savoir et le regard sur des désatres politiques qui se succèdent les uns après les autres
Monsieur que reste-t-il au peuple depuis deux cents ans,après le rouleau comtpresseur du centralisme?,après toutes les directives ,lois et diktats d'une mainmise d'état central.
On arrache au peuple ses élites et on en fait de bons serviteurs d'une machinerie d'état,ceux qui restent deviennent des supplétifs,aux postes de commandes locaux.
Mais le désastre est tel que même les couches actuelles sont éteintes à la base.
Dans mes commentaires je demande à tous l'union de pensée,mais "gast donc!" disait le vieux marin ,c'est pas difficile,même s'ils sont tous individualistes et dans leurs petites vérités;
Ils oublient que la vérité est la somme des vérités de chacun.
Cet oubli nous fera perdre le challenge.
Monsieur ,analysez,la mise en place de l'axe Angers- Nantes -Rennes -Brest(Rennes lance déjà les postes de management haut niveau de pilotage de projet complexe stratégique et instiyutionnel)
(0) 
  SPERED DIEUB
  le Samedi 20 octobre 2012 09:20
Monsieur voici ma réponse vous faites des amalgames peut être pas sans arrières pensées ??... comme si le centralisme français et le despotisme et l'annexion de la Bretagne avait commencé en 1789!!! dites plutôt que la révolution a été confisquée et dévoyée comme le sont les révolutions arabes par les islamistes aujourd'hui voir le site
http://ablogjeanfloch.over-blog.com/article-1788-la-revolution-commence-a-rennes-104264487.html
(0) 
  eugène Le Tollec
  le Samedi 20 octobre 2012 10:35
SPERED DIEUB
De Le Tollec,
si c'est à moi que vous vous adressez,je pense que vous devez relire ce que je dis depuis toujours .
"oui la révolution a été dévoyée ,elle a tué l'âme des peuples de France
Le centralisme français est l'ADN de l'état français depuis qu'un roitelet de France a mis comme souci premier de la pensée d'état Le centralisme qui de royauté s'est mué en véritable outil de management sous la révolution(l'époque demandait ce cette centralisation!)
Notre révolution reconsolidant l'outil par nécessité de République naissante a fait du centralisme son dogme (mais je pense que nous sommes dans les derniers relents de ce pouvoir d'état).
Mon arrière pensée :
Une bretagne avec une pensée bretonne (peut être à multiples facettes puisqu'il y a des gens soumis à la pensée de gauche française ou de droite).
Je dis et répète que la pensée bretonne est bretonne (c'est une pensée d'état".
En ce moment ,je suis dans le rejet de la couche d'élites socialiste de Bretagne (ils ont encore leurré ,menti,trompé le peuple breton.. et ils continuent.
Cela est peut être pour vous un amalgame avec arrière pensée ,et bien je suis fier de mon arrière pensée.
Quand je tape sur la gauche,je tape sur l'ensemble du panier de crabes,je tape sur ce centralisme et sur ce despotisme des couches décisionnelles de ce foutoir(tout parti confondu)
Mon credo est dans l'ordre,la discipline.
Pour terminer,vous comme moi,personne ne nous écoute,je peine à parler d'unité bretonne.
Laquelle d'après vous?
Et avec qui?
Puisque c'est de l'ordre serré
En rappel voici ce que je dis
"
L’âme bretonne s’est donc forgée au cours des millénaires dans une certaine vision théocratique du monde, des restes d’imprégnation sont toujours présents et animent encore « l’état d’être breton ».
Les origines de peuplement ont donné aussi, nos autres valeurs telles que :
L’individualisme dans une puissante conviction de vie et d’entreprendre.
L’obéissance aux règles admises malgré l’individualité permanente.
La volonté de réussir, le goût inné pour la lutte contre les obstacles de l’existence.
Le respect d’une «  hiérarchie de compétence et de valeur » (reconnue par les faits).
Le respect du social hors de toute théorisation étrangère
Ce «  cloisonnement identitaire et ouvert » est un des facteurs créateurs de l’identité bretonne.
Enfin nous exprimons nos certitudes :
Celui d’un Peuple
Premier et de fondation
De renouveau hors de toute contrainte politique,
De confiance en l’homme d’expérience et de compétence « apte et responsable pour son devenir ».
De dynamique faisant appel aux valeurs du particularisme pour une force de développement.
N’oublions pas que
Ce peuple n’est pas « enfant de Francie », mais enfant d’Armorique qui n’a jamais été lié par un quelconque cordon ombilical, il a été simplement absorbé de surface et non de profondeur de cœur.
Rappel fondamental
L’émancipation et l’autonomie d’un peuple adulte ne veulent pas dire rejet de l’autre, mais cela, l’Etat Français ne l’a jamais compris dans ses méfiances d’autorité à soumettre ou du moins cette volonté de compréhension n’était pas un objectif supérieur d’état.
Il fallait faire la France dans une stratégie centralisatrice hors de toute sommation d’identités premières.
1.1.1.3 Bretagne, peuple d’émigrants
Diaspora bretonne
Un des points du particularisme « Breton » est celui de cette « faculté d’émigration » afin de mieux « renaître ailleurs ».
Emigration due :
A la dureté de vie, la terre ne pouvait plus nourrir ses habitants.
A la survie même lors des temps d’épreuves (invasions, de guerres, de grands maux.)
A cette force d’exister, de vivre et de raviver sans cesse le flambeau tout en conservant la mémoire des racines.
A la constance de ses valeurs intrinsèques.
Ce point est crucial et est une des clés pour la compréhension des caractères, mais aussi pour trouver une des causes de la façon qu’a eu l’Etat Français dans la gestion de ce peuple d’exception, en constatant depuis les premiers temps cette «capacité de mobilité » et « d’éternelle renaissante » marquant ainsi une des doctrines fondamentales du centralisme qu’il soit de royauté ou de la République , la Bretagne devait devenir un « réservoir  économique de main d’œuvre et  d’outils des armées et autres administrations centrales .
(La celtitude la desservait).
Il fallait maintenir cette province puis ces départements dans un minimum de développement pour mieux servir l’unité de l’Etat immuable, la Bretagne devait être une annexion, au pire une colonie (certains, l’ont dit, au XIX siècle).
Il fallait museler, les arrogances !
Faut-il oublier :
Les conditions économiques qui poussaient par désespoir ce peuple vers ses lieux de diasporas.
Les gens de maison, gardes d’enfants, ouvriers, domestiques, travailleurs des entreprises nationales, et autres «  manœuvres » du 19 ème siècle, bécassine et autres affronts, etc.
Les vastes immigrations de main d’œuvre organisées par l’Etat, à partir de la Bretagne, par « wagons à bestiaux », vers les lieux de pénurie d’hommes- à -tout – faire par manquement.de main d’œuvre locale.
Les émigrations vers « les Amériques ».
Faut-il oublier
En fin de 19 ème et début du 20 ème siècle, qu’un génocide culturel fût appliqué en doctrine d’éradication systématique (combien ont connu la « bâche dénonciatrice »du petit « bretonnant », sous la houlette des hussards noirs de la République).
Il fallait que le moule républicain soit sans faille (l’unité d’identité dans le creuset républicain).
1.1.1.4 Bretagne de fidélité et d’indépendance
(Une fois vaincue, elle fût fidèle, sans rien renier, jusqu’au temps d’aujourd’hui).
Les propos, tenus à Chinon, en 1440, lors de la cérémonie « d’hommage  lige » à Charles VII, par le Duc de Bretagne François I exprime cet engagement qui résume « l’état d’être Breton ».
«  Tel hommage que mes prédécesseurs ont fait au roi de France, je fais et non autrement ».
Propos de fidélité et d’indépendance repris quelques années plus tard par le connétable Arthur de Richemont, Duc de Bretagne de Septembre 1457 à Décembre 1458 au même au Roi de France Charles VII.
«  Tel hommage que mes prédécesseurs vous ont fait, vous fait et ne l’entend point lige. »
Le Connétable Arthur de Richemont avait prêté serment au Roi, mais le Duc de Bretagne souverain avait fait le serment de sauvegarder et de maintenir les prérogatives de son Pays.
Fidélité aux alliances mais aussi aux paroles données.
Ce serment montre l’attachement des bretons aux paroles données.
Cela s’est constaté durant toute l’histoire de France.
Cela est la meilleure preuve de la réussite de la république
Les bretons ont toujours répondu « Présent »
1.1.1.5 Bretagne, peuple de révoltes
(La fidélité ne pouvait s’accompagner que d’une certaine révolte devant les injustices).
1589 Soulèvement du Duc de Mercoeur et Soumission en 1598.
1675 Révolte du «  papier timbré » à Rennes écrasée dans le sang par quelques 10 000 spadassins royaux de triste mémoire.
La Bretagne était « Matée ».
Les «  Codes de paysans » écrits lors de cette insurrection sont lourds de conséquences et révélateurs d’un futur car ils notent déjà une réflexion de société, prémices à d’autres cahiers de doléances.
1715 L’épopée du Marquis de Ponkallek.
1715 Les Etats de Bretagne accentuent leurs désirs d’autonomie et s’oppose au pouvoir royal en vertu de l’acte d’union de 1532.
1764-1774 L’Affaire du Parlement de Bretagne et les prémices des nouvelles convulsions*.
1793 La chouannerie par refus de conscription contraire au traité de l’union.
1793 La Convention, les décrets «  d’extermination » dans l’Ouest se mettent en place.
Cartier le sinistre « noyeur de Nantes  »
Le génocide Vendéen par cette même Convention.
Les colonnes infernales de Tureau en Vendée militaire, etc.
Toutes les exactions et répressions féroces dans l’ensemble de L’ouest.
La force de l’état était souveraine
1.1.1.6 Bretagne, Peuple renaissant et de devenir
Un peuple fidèle, libre et parfois révolté ne pouvait que renaître de ses malheurs
Le 19 nième siècle a semblé museler la Bretagne sous une chape de résignation.
L’esprit de cette province était-il anéanti par tant d’épreuves?
Les qualités premières qui font la force d’un peuple avaient-elles été éradiquées ?
Le Parisianisme s’était pourtant et constamment efforcé de faire croire cela.
Mais la Bretagne se remettait debout, après une pause.
Chateaubriand, Laennec, Lamennais, Renan, Aurélien de Courson, Pitre - Chevalier, Théodore Hersart de la Villemarqué et tant d’autres comme Le Gonidec et autres Arthur de la Borderie étaient la nouvelle vigueur intellectuelle.
La soif d’apprendre tel un sacerdoce a fait de chaque breton un véritable « cheval d’orgueil »
... pour contredire les amalgames!
Mon propos est sous mon nom!
M.Le Tollec
(0) 
  SPERED DIEUB
  le Samedi 20 octobre 2012 13:22
Sans vouloir me faire l'avocat du diable dont je me méfie également, il faut reconnaitre que le peu de décentralisation qu'il a eu dans l'hexagone a été mis en oeuvre par des gouvernements socialistes, tandis que n'ayez pas la mémoire courte, Sarkozy a engagé une démarche recentralisatrice avec en prime le projet du grand Paris sans compter son mépris délibéré pour les bretons ,ce qui n'a pas empêché certains des nos acteurs économiques de tenter négocier en vain un certain droit à l'expérimentation pour la Bretagne .Tandis que bien qu'il ne faut pas se faire trop d'illusions au niveau d'une dévolution des pouvoirs vers les régions Hollande ne méprise pas les bretons ni la langue celtique comme son prédécesseur alors il n'y a pas de raisons d'être plus sévère avec le nouveau pouvoir français qu'avec le précédent pour lequel une certaine droite bretonne éprouvait une certaine compassion du fait d'une conception commune de l'économie Pourquoi accorder des circonstances atténuantes à la droite française et systématiquement critiquer la gauche plus par principe que par raisons concrètes ????? plusieurs poids plusieurs mesures ....
(0) 
  JIPE
  le Samedi 20 octobre 2012 14:25
An Ao. Le Tollec:
J \' approuve votre argumentaire et je pense que c\'est soit:
Une synthèse philosophique bretonne de l\'Histoire,
soit:
Une synthèse philosophique de l\'Histoire bretonne !
Il est bon, de temps en temps d\'avoir des synthèses telles que la vôtre.
Cela permet de gagner du temps en recherche de jalons bretons.
cela permet individuellement de lutter mentalement contre la puissance sans cesse renouvelée des médias
(écrits surtout, Cf. l\'inepte N° spécial Historia-Ouest-France: \" Une façon amusante de revisiter l\'Histoire\" sic !).
A galon ganeoc\'h
(0) 
  Léo Pourlet
  le Samedi 20 octobre 2012 17:17
A quand le gros titre sur ABP "Le gouvernement français et le parlement breton ont signé un accord pour un référendum sur l'indépendance de la Bretagne" ? Dans fort longtemps ! Parce qu'il s'agirait de ne pas oublier que tous les Bretons ne sont pas nécessairement pour un développement de la culture locale, pour l'affirmation d'une identité propre et encore moins pour une éventuelle indépendance. On parle des différents gouvernements et de leur tendance jacobine mais on oublie parfois qu'ici même l'unanimité n'est pas à l'ordre du jour (d'ailleurs, est-ce vraiment possible ?). Parce qu'il y a un pays à côté de chez nous qui a bien réussi son coup en matière de lavage de cerveau et de démolition progressive de notre patrimoine. Beaucoup de Bretons ne conçoivent pas la Bretagne sans la France et inversement, la France ne peut concevoir de perdre la Bretagne. Nous sommes tout de même son nez, à ce foutu hexagone. Enfin, je m'éloigne du propos : longue vie à l'Écosse !
(0) 
  eugène Le Tollec
  le Samedi 20 octobre 2012 17:32
SPERED DIEUB
même sac,même panier et fût un temps la Bretagne était réservoir et source d'appros!et surtout corvéable "à MERCY".
La basse soumission française élit
les mêmes crabes de droite et actuellement de gauche (hollande et son comparse ne valent pas un coup de cidre comme dit le vieux pêcheur!).
Je lis que M.Glon Locarn (en terme d'économie agro-alimentaire) commence à réveiller le secteur entier.
Un dernier point
Même le général n'a pas voulu revenir sur l'action de Vichy, mais peut être l'aurait-il fait s'il avait pu ,hélas la classe politique française et tous les jacobins ont tué la Vision!
Mais le problème était-il à ce niveau ou dans les bretons eux-mêmes?
Je me pose ,souvent la question :
Les bretons veulent-ils leur Bretagne?
Dans ce cas,laquelle?
Lorsque ce jour arrivera ,mes cendres auront été dispersées dans les passes de Groix!
L'espoir fait vivre et l'utopie rêver!
Dernier point
Pas d'expérimentation pour la Bretagne (ceci est un mot énarquien d'officine gouvernementale),ce qui a été détruit doit se reconstruire(cela est de l'ordre ),il y va de l'existence d'une nation!
(0) 
  eugène Le Tollec
  le Samedi 20 octobre 2012 18:14
Léo Pourlet
La bretagne d'aujourd'hui a :
Sa culture
Son patrimoine
Son identité
Mais il lui manque,sa puissance économique en puissance de frappe économique en poids dans le rapport avec la France (regardons ce que disent les écossais)
Je demande donc à la puissance économique bretonne l'obligation de mettre "en consensus" tous les CCI de Bretagne(que ces CCI fassent un voeu de réunification).
Nous n'aurons ce que nous voulons que par un vecteur "force".
La puissance économique permet la référence européenne reconnue.
Dernier point
Nous sommes liés à la France puisque nous avons été annexé par l'histoire ,mais nous ne devons pas être des soumis.
Je serais satisfait par un fédéralisme redonnant notre espace, certaines choses dans une indépendance ne pourront pas se faire( je ne suis pas un rêveur d'utopie!)
Pragmatisme et vérité sont d'excellents conseils.
(0) 
  SPERED DIEUB
  le Dimanche 21 octobre 2012 14:43
Eugène Le Tollec vous avez la vocation d'un homme politique car vous savez répondre à coté de la question et ignorer les éléments qui vous mettrait mal à l'aise... Mais c'est justement ce droit à l'expérimentation que vous fustigez que sont allé revendiquer les chefs d'entreprises bretons dont vous parlez auprès du maitre du club du fouquet j'imagine leurs déceptions au vu leur proximité idéologique avec celui ci .
Et çà se trouve si aujourd'hui une rencontre dans le genre serait organisée avec Hollande à la fois par Locarn et des hommes politiques de gauche sensibles aux problèmes bretons comme Troadec entre autres, la démarche aurait plus de succès le fait que la France s'enfonce dans la crise, serait un facteur qui influencerait favorablement la suite des évènements dans le sens de la dévolution et aussi de la réunification
Pourquoi s'opposer systématiquement a un dirigeant qui n'a à priori rien contre la Bretagne et les bretons bien qu'il reste jacobin et par contre avoir été se fourvoyer avec un autre encore plus centralisateur et qui méprise délibérément les bretons ??? ceux ci le peuple lui ont d'ailleurs bien rendu la politesse car dans la cas inverse la droite ne se serait jamais effondrée à ce point en Bretagne
(0) 
  eugène Le Tollec
  le Dimanche 21 octobre 2012 19:25
SPERED DIEUB
ce que j\'ai contre le droit à l\'expérimentation,c\'est le concept lui-même, c\'est un terme jacobin inventé pour tenter de trouver des solutions jacobines à un problème vital.
Les bretons comme les Normands,ne demandent que de revenir à leurs espaces (pourquoi deux Normandies,faut -il refaire l\'historique?),nul besoin d\'artifices expérimentaux pour recupérer ce que l\'état centralisateur a confisqué.
L\'état français par le fait d\'expérimentation (c\'est dans le langage parisien, trouve un dérivé pouvant satisfaire l\'exaspération provinciale ou d\'autogestion.
La main est toujours gardée.
Parler d\'expérimentation pour la réunification c\'est à nouveau se soumettre à la volonté d\'état.
Pour moi une expérimentation d\'état est par exemple ,la mise en pratique d\'une dévolution financière ( loi de rétrocession financière)ou remettre le parlement de bretagne à l\'actuel Conseil régional en y ajoutant un pavé législatif subsidiarisé, en mixant les conseils (économique et social+ plus une branche \"monde du travail)
cela serait les premiers pas jalonnés d\'une mise en fédération!
Nous n\'avons pas à demander un droit à l\'expérimentation,la seule expérimentation que l\'état doit mettre en place est le basculement en République fédérale( dans ce cas ,je veux bien que l\'état octroye une expérimentation à la Bretagne réunifiée)
Croyez moi ,Monsieur,la France passera par ces fourches caudines européennes.
Monsieur ,je ne crois pas en Hollande,ni en Ayrault,ni en la droite (trop de mensonges! et pour certains depuis très longtemps).
Tous ces gens sont des carriéristes (on sort de l\'ENA,on se sert la main et l\'on se dit Dans 10 ou 15 ans (voir les promos les unes après les autres, et chacun va faire sa carrière soit au PS ,soit à l\'UMP,soit dans les grands corps,mais ils sont tous dans le même formatage).
D\'abord ,quel niveau d\'expérimentation serait offert.
Je redis ,les propositions bretonnes pour un phénomène d\'expérimentation doivent être unitaires et inscrites dans la pensée bretonne (il est inutile de voir des associations multiples s\'avancer sur ce chemin (le beau jeu divisionnel d\'état).
C\'est en cela que je parle d\'unité d\'une pensée \"d\'etat\"
bretonne,cette pensée doit être de la même puissance que celle issue de Paris et diffusée par la structure d\'état.
Suis-je dans une vocation d\'homme politique ou simplement de polémiste sensé et censé?
Dernier point
Monsieur
Vous avez l\'air d\'être au fait de la pensée socialiste en disant qu\'un dirigeant actuel n\'a a priori rien contre la Bretagne(qu\'il nous en fasse la démonstration).
Tout positionnement peut être reconsidéré!
Je vois que vous êtes pour la politesse rendue,mais quelle politesse pour la Bretagne!
Monsieur ,l\'Europe doit casser le centralisme \"français\" ou alors que l\'état redéfinisse sa doctrine,afin de préparer ce pays pour les enjeux mondiaux et européens.
C\'est notre seul issue!
(0) 
  SPERED DIEUB
  le Dimanche 21 octobre 2012 22:25
Je suis globalement d'accord avec vous mais vous passez à coté du problème que j'ai posé ce sont peut être des détail mais on dit que le diable est dans les détails .A savoir que ceux qui sont allés revendiquer le droit à l'expérimentation à Sarkozy sont d'éminents personnages de l'institut de Locarn et d'un parti breton qui vire de plus en plus à droite ce n'est pas une critique c'est un constat car justement à défaut d'un parti de rassemblement ou la cohabitation est hélas difficile, il manque un parti de droite sur l'échiquier politique breton et il me semblerait que des personnalités de votre genre aient toutes les qualités requises pour le diriger
(0) 
  eugène Le Tollec
  le Lundi 22 octobre 2012 12:40
Mais qui peut icarner la Bretagne? ,ils l'incarnent tous et chacun ,comme la misère sur le bas monde, s'accroche à son credo,sa pofession de foi, sa charte,ses convictions profondes ou de surface,chacun est dans son droit de réflexion et sa volonté d'imposer,chacun veut gagner un élément des rapports de force,chacun est lui même et breton!....et chacun oublie qu'il a un état devant lui!
(0) 
  Sophie Moreau
  le Lundi 28 janvier 2013 14:42
L'histoire de la Bretagne, du pays basque, de l'Alsace etc... est intimement liée à celle de la France, non à celle de l'Europe entité complètement abstraite. Je suis d'abord Française et ensuite Bretonne ! Europe = NIET
(0) 
  Ar Vran
  le Lundi 28 janvier 2013 15:20
@sophie Moreau
Un conseil : revisez vite vos positions, vous risquez de déchanter...
(0) 
  SPERED DIEUB
  le Lundi 28 janvier 2013 15:24
Sophie c'est facile et simpliste en effet de cracher dans la soupe européenne qui certes est loin d'être parfaite mais elle a contribuée à préserver la paix depuis plus de soixante ans et cela n'a pas de prix par rapport aux saignées qu'a subit ce continent de part justement la montée des nationalismes grands ou petits dans leur forme exacerbée ,dont le national centralisme de l'état français, jacobin c'est encore autre chose, gare à celui ou celle qui remet en cause ces fondamentaux car ses sbires ne tardent pas à vous faire passer de façon sournoise pour une ou un délinquant politique
(0) 
  eugène Le Tollec
  le Lundi 28 janvier 2013 22:40
Sophie Moreau
Madame,on peut être français,européen, mais dans le fond des gènes ,ON EST breton (je ne parle pas breton parce que j'ai été formaté français), à l'école de la République ,mais cette République ne pourra jamais effacer l'empreinte de mes origines.
Je suis un enfant de France ,mais quelque part ,je suis un enfant perdu de Bretagne.
Notre république n'a pas le droit de tuer ses identités premières!
Madame, notre niveau de compréhension doit se sublimer dans l'expression d'avoir deux niveaux d'identité.
(0) 
  Pierre CAMARET
  le Mardi 29 janvier 2013 00:50
@ Sophie Marceau.
Points de vue divergents.
moi .. je suis Breton
Europeen

Francais
s'il en reste .
(0) 
  Pierre CAMARET
  le Mardi 29 janvier 2013 00:59
@Sophie MARCEAU
Revoyez votre copie . L'histoire de l'Alsace , que je connais assez bien , est egalement liee a l'histoire Allemande .
L'Alsace semble bouger pour plus de cohesion administrative , plus d'autonomie et je souhaite ardemment que cela arrive .
Cela pourra avoir valeur d'exemple , pour d'autres parties de l'hexagone
(0) 
  Michel Prigent
  le Mardi 29 janvier 2013 05:05
Si l'on enseignait l'histoire de l'Europe au lieu de celle de la France, on s'apercevrait que ses peuples, celtes, goths, germains, slaves sont de civilisations, de cultures, voire même de génétique, commune.
Il est affligeant qu'ils se soient étripés pendant des siècles en particulier à cause "des nationalismes qui ont détruit l'europe",sic Noëlle Lenoir ancien membre du conseil constitutionnel et ministre des affaires européennes, récemment nommée déontologue à l'Assemblée. Nationale
(0) 
  Alain Monier
  le Mercredi 18 septembre 2013 11:21
bonjour,
tres attache a l'independance de l'Irlande du Nord, je me pose pourtant une question qui m'obsede concernant l'aspiration a l'independance et a la rupture Bretonne et Basque avec la France. La mondialisation cherche quoi ?, la destruction des Etats, la multiplication des entitees regionales, culturelles, dans le but d'avoir la main mise sur de petites structures facilement manipulables, faciles a maitriser, je m'interroge. Je souhaite que l'Ecosse s'affranchisse de la tutelle Anglaise, car je suis Francais. Vous dites que Cameron est d'accord pour le referendum Ecossais, a mon sens il pense en representant de la City. Cet Ultra Liberal se moque des nations, si il joue le jeu Anglais c'est parce que cela lui permet de servir le systeme du libre echange et ses commenssaux. J'ai des origines Irlandaises et Basques, mon ADN correspond a celui de Niall aux 9 otages, donc je ne peux trahir ses attaches profondes, mais je m'interroge. Cordialement
(0) 
Commenter :
Votre email est optionnel et restera confidentiel. Il ne sera utilisé que si vous voulez une réponse d'un lecteur via email. Par exemple si vous cherchez un co-voiturage pour cet évènement ou autre chose.
ANTI-SPAM : Combien font 4 multiplié par 4 ?