Le vendredi 21 février, à 18h30, la Maison de l'Europe de Brest organise son premier forum citoyen sous la forme d'un grand débat : "Quelle Europe pour demain ? -
Le vendredi 21 février, à 18h30, la Maison de l'Europe de Brest organise son premier forum citoyen sous la forme d'un grand débat : "Quelle Europe pour demain ? - Gouvernance politique et économique de l'Union européenne ".
À l'approche des élections européennes, l'événement réunira trois députés européens : Yannick JADOT (ALE/Les Verts), Agnès LE BRUN (PPE/UMP) et Isabelle THOMAS (S&D/PS).
Maël LE GUENNEC, journaliste, animera les débats autour de questions qui préoccupent les citoyens : le rôle des députés européens, la transparence sur le fonctionnement des institutions européennes, l'Europe des nations ou l'Europe fédérale et aussi l'efficacité d'une gouvernance économique, etc.
2014 verra un grand changement, le Parlement européen aura pour la première fois le pouvoir d'élire le nouveau président de la Commission européenne. Le vote des Européens est important.
Le Parlement européen adopte des lois qui influencent le quotidien, en gardant à l'esprit l'intérêt commun des Européens. Il est aussi au c½ur de l'accord sur le financement de l'UE pour les années à venir. Cette fois-ci, c'est différent. Le 25 mai 2014, les citoyens auront plus de pouvoir pour décider de ce qui va changer.
Le débat, organisé à la Salle de la Maison des syndicats (rue de l'observatoire), à Brest, est ouvert à tous sur inscription.
Pour s'inscrire :
(Hashtag officiel de l'événement : #Débat_UE29)
Commentaires (2)
-Faisant enfin travailler les députés européens dont beaucoup se contentent de pointer au registre pour toucher leurs indemnités (Ce n'est pas Rachida Dati qui dira le contraire, ni Le Pen par ex.)
-Ce parlement européen du fait d'une élection à la proportionnelle est bien plus représentatif que celui français par exemple.
-Barroso et autres présidents de commissions comme le Pt de l'Europe Van Rumpuy et Ashton ne seront plus désignés par les gouvernements nationaux et chose importante seront moins enclins à subir les pressions efficaces des milliers de lobbystes souvent anglo-saxons qui les "conseillent" (parfois à coup de valises de billets paraît-il.)
Mais je le reconnais le risque est de voir les commissions prises en tenailles entre les intérèts nationaux contradictoires portés par les députés et les pressions des lobbies et ONG.