
Yes Breizh c'est quoi ?
Réalisation : ABP – 210 vues
La dévolution pour la Bretagne, un processus plus ou moins long qui va voir passer notre pays par différents stades de l'autonomie, jusqu'à, à plus ou moins long terme, l'indépendance, et seulement si le peuple breton, de manière démocratique par les urnes, le décide.
La situation politique en France met chacun de nous en danger que ce soit sur les plans économiques, environnementaux, culturels, sociaux etc. Yes Breizh, un mouvement et pas un parti, appelle chacune et chacun en Bretagne à soutenir un processus de dévolution de pouvoirs à la Bretagne.
La dévolution c’est quoi ?
Au-delà du mot, la dévolution est un processus engageant pour l’avenir de la Bretagne Mais encore ? Depuis plusieurs décennies, le débat sur l’avenir institutionnel de la Bretagne tourne souvent autour de deux termes : autonomie et indépendance. L’un paraît trop galvaudé, l’autre trop clivant. Yes Breizh propose de leur préférer un mot qui rassemble, un mot qui ouvre une perspective réaliste et constructive : la dévolution. Ce terme, emprunté à l’expérience britannique, désigne le transfert de pouvoirs d’un État central vers une nation ou une région. Pour la Bretagne, il s’agit de construire une capacité réelle à décider de son avenir, dans un cadre démocratique et clair, sans entrer dans des débats piégés.
Origine et sens du mot « dévolution »
Le mot dévolution vient du latin devolvere, qui signifie « faire rouler vers », « transmettre ». En français juridique, la dévolution désigne le transfert d’un droit ou d’une charge, par exemple lors d’une succession ou d’un héritage. Appliqué au champ politique, il prend un sens plus large : la transmission de compétences du pouvoir central vers une autorité locale ou nationale. Il ne s’agit pas d’une rupture brutale mais d’un processus progressif, encadré et négocié. C’est ce sens qui a pris toute son importance au Royaume-Uni à la fin du XXe siècle.
Le modèle britannique
En 1997, le Royaume-Uni a engagé une réforme constitutionnelle majeure : la « devolution of power ». Elle a permis à l’Écosse, au Pays de Galles et au nord de l’Irlande d’obtenir de larges compétences dans des domaines comme la santé, l’éducation, l’agriculture, la culture ou encore l’économie.
- Écosse : création du Parlement écossais et d’un gouvernement à Édimbourg. Les Écossais disposent aujourd’hui de pouvoirs très étendus, y compris fiscaux.
- Pays de Galles : mise en place du Senedd (le Parlement gallois) et d’un gouvernement à Cardiff, qui ont vu leurs compétences s’élargir au fil du temps.
- Nord de l’Irlande : un système plus complexe, basé sur le partage du pouvoir entre communautés, mais qui illustre lui aussi la logique de dévolution. Bilan après plus de 25 ans : la dévolution a permis à ces nations de renforcer leur démocratie, d’adapter leurs politiques publiques à leurs réalités et de donner une visibilité institutionnelle à leur identité nationale. Certes, des tensions existent, notamment en Écosse avec la question de l’indépendance, mais le Royaume-Uni n’a pas explosé pour autant.
Dévolution, autonomie, indépendance : clarifier les termes
Pour éviter les confusions, il est essentiel de distinguer trois notions :
• Autonomie : un pouvoir local élargi, mais limité, qui reste dépendant de l’État central.
• Indépendance : la souveraineté complète, la création d’un État distinct, avec sa diplomatie, son armée, sa monnaie.
• Dévolution : un processus progressif, par étapes, qui transfère des compétences précises à une nation. Elle peut mener à une autonomie très large, voire à l’indépendance si le peuple le décide, mais elle n’impose pas de choisir à l’avance. C’est pour cette raison que Yes Breizh préfère ce mot : il est à la fois clair, pragmatique, rassembleur et porteur d’avenir.
Pourquoi la dévolution pour la Bretagne ?
La Bretagne subit depuis des siècles le poids du centralisme français. Ses institutions ont été abolies en 1789, sa voix réduite à celle d’une « région » parmi d’autres, ses ressources souvent contrôlées depuis Paris. Résultat : une sous-représentation politique, des budgets ridiculement faibles comparés aux besoins, un retard en infrastructures, un mépris pour sa culture et sa langue. La Bretagne est traitée comme une périphérie alors qu’elle dispose de nombreux atouts : une population jeune et qualifiée, une économie ouverte sur le monde, une culture forte et inclusive. La dévolution permettrait à la Bretagne de reprendre la main sur les décisions qui la concernent, de gérer ses priorités et d’investir selon ses besoins réels.
Les domaines clés d’une dévolution en Bretagne
Une dévolution réussie devrait couvrir de nombreux champs :
- Santé et action sociale : organisation des hôpitaux, politique de prévention, soutien aux aidants.
- Éducation et culture : programmes adaptés, valorisation du breton et du gallo, développement artistique et scientifique, enseignement de l’Histoire de Bretagne.
- Économie et fiscalité : collecte des impôts en Bretagne pour la Bretagne, soutien aux PME, stratégie d’innovation.
- Énergie et environnement : pilotage de l’éolien offshore, de la transition énergétique, de la protection du littoral et plus généralement du développement durable par une écologie responsable.
- Agriculture et pêche : adaptation des politiques européennes aux réalités bretonnes.
- Logement et aménagement : lutte contre la spéculation, régulation des résidences secondaires, investissement dans le logement social.
- Transports et infrastructures : modernisation du réseau ferroviaire, interconnexions entre villes, ports et aéroports.
- Représentation politique : création d’une Assemblée de Bretagne et d’un exécutif responsable devant les citoyens.
Les freins et les objections
Trop petite… en superficie ?
Avec 34 000 km², la Bretagne est plus grande que la Belgique (30 688 km²), que la Slovénie (20 273 km²) et à peine plus petite que les Pays-Bas (41 543 km²). De nombreux États prospères ont une superficie inférieure.
Trop petite… en population ? La Bretagne, c'est à dire la région administrative et la Loire Atlantique, compte près de 5 millions d’habitants, soit autant que la Slovaquie, la République d’Irlande ou la Nouvelle-Zélande ; et bien plus que la Croatie, la Slovénie ou les pays baltes. Ces nations sont indépendantes, parfois membres de l’UE, et parfaitement viables. Et il ne viendrait à personne l’idée de remettre en cause leur statut.
Le modèle des Länder allemand La comparaison est encore plus frappante en Allemagne. Des Länder comme la Sarre (990 000 habitants) ou Brême (680 000 habitants) disposent de parlements, de gouvernements et de compétences étendues. La Bretagne, avec ses 5 millions d’habitants, a donc une légitimité bien supérieure à plusieurs Länder allemands qui gouvernent pourtant pleinement leurs affaires. La Bretagne n’est donc ni trop petite, ni trop pauvre. Elle a simplement été privée de ses leviers d’action.
Un processus démocratique et progressif
La dévolution ne peut se faire que si les Bretonnes et les Bretons le souhaitent. Cela suppose un débat ouvert et informé, suivi d’un vote démocratique, par exemple un référendum. C’est l’ambition de Yes Breizh. Un calendrier réaliste pourrait être fixé à l’horizon 2032, avec des étapes claires :
1. Ouverture d’un débat public et médiatique.
2. Référendum consultatif en Bretagne.
3. Révision constitutionnelle en France.
4. Élections d’une Assemblée de Bretagne et installation d’un exécutif responsable.
Ce processus progressif permet d’éviter les ruptures brutales et de construire une nouvelle relation de confiance entre la Bretagne et la France.
Dévolution et avenir commun
La dévolution n’implique pas de rompre les liens avec le pouvoir central. Elle permet simplement de redéfinir ces liens sur une base équitable et respectueuse. Paris garderait certaines compétences régaliennes (diplomatie, armée, monnaie), tandis que la Bretagne gérerait l’essentiel des questions de société et d’économie. En parallèle, la Bretagne pourrait renforcer sa place en Europe et dans le monde : relations directes avec l’Irlande, l’Écosse, le Pays de Galles, ouverture sur l’Atlantique et la mer Celtique, participation active aux réseaux régionaux européens.
Dévolution : un mot, un projet, une confiance retrouvée
La dévolution n’est pas un slogan. C’est un outil politique éprouvé, qui a déjà fait ses preuves ailleurs. Pour la Bretagne, elle représente une chance historique : celle de reprendre la main sur son destin, de construire une société plus juste et plus efficace, et de donner confiance aux générations futures. Ni autonomie floue, ni indépendance immédiate : la dévolution trace une voie claire, démocratique et progressive. Une voie qui permet à la Bretagne d’être enfin maîtresse de son avenir, tout en restant ouverte au reste du monde. C’est l’ambition de Yes Breizh. Au-delà des clivages politiques actuels, complètement dépassés.
Commentaires (24)
Le mot dévolution existe en français, mais dans ce sens-là, c'est un anglicisme. Un de plus.
Les principaux freins et objections sont la France, la France, la France... corrélé à l'apathie bretonne au mieux, voire tout simplement un loyalisme très fort à la France.
Quant à l'apathie, en effet, une certaine apathie est à déplorer. Il n'y en a pas chez Yes Breizh : rejoignez nous!
Quand vous affirmer que nous sommes presque 5 millions , vous comptez la Loire armorique qui ne fait plus partie de la Bretagne depuis 1941 !!!
Donc : utopie.
Elle ne fait plus partie de la région administrative Bretagne depuis Pétain, mais fait évidemment toujours partie, historiquement, de la Bretagne. Vous semblez confondre la Bretagne millénaire et l'artificielle région administrative décidée à Paris sur un coin de bureau. Et en cherchant un peu sur Internet, vous verrez qu'en effet la population des cinq départements bretons frôle les 5 millions d'habitants.
Pour les détails, voir les commentaires sur l'article ABP concernant la saisine du CEDH par Bretagne réunie.
Le Pays nantais faisait partie de la province de Bretagne sous l'ancien régime, celui de la monarchie absolue de droit divin.
Les provinces du royaume de France ont été supprimée à la révolution française.
83 départements, sous administration directe du pouvoir central ont été créés en 1790, dont la Loire-Inférieure.
La République française, la IIIème, a considéré que ce type d'administration du pays était devenue inadaptée aux enjeux du pays, notamment sur le plan économique.
Au début de 20ème siècle, le principe de "régions économiques" a été élaboré.
A lire, le livre du géographe Henri Hauser, "Les régions économiques" paru en 1918, qui détaille le mécanisme de conception de ces régions basées sur le regroupement des chambres de commerce.
Une carte de ces régions, dites Clémentel, a été publiée en 1919, sans application immédiate.
Un décret du 28 septembre 1938 a officialisé l'existence de ces régions économiques. Pour la première fois, apparaît le nom Pays de la Loire, avec une composition correspondant à la composition actuelle.
Ces régions économiques sont devenues "Régions de Programmes" en 1956 et ont vu leurs prérogatives étendues ultérieurement.
Comme pour les autres régions françaises, on est très loin de "l'artificielle région administrative décidée à Paris sur un coin de bureau".
Les régions françaises correspondent à une organisation du territoire voulue par les républiques de notre pays, loin des critères de la monarchie absolue de droit divin des province et des critères des fiefs féodaux du moyen-âge.
Le Pays nantais faisait partie de la province de Bretagne sous l'ancien régime, celui de la monarchie absolue de droit divin.
Les provinces du royaume de France ont été supprimée à la révolution française.
83 départements, sous administration directe du pouvoir central ont été créés en 1790, dont la Loire-Inférieure.
La République française, la IIIème, a considéré que ce type d'administration du pays était devenue inadaptée aux enjeux du pays, notamment sur le plan économique.
Au début de 20ème siècle, le principe de "régions économiques" a été élaboré.
A lire, le livre du géographe Henri Hauser, "Les régions économiques" paru en 1918, qui détaille le mécanisme de conception de ces régions basées sur le regroupement des chambres de commerce.
Une carte de ces régions, dites Clémentel, a été publiée en 1919, sans application immédiate.
Un décret du 28 septembre 1938 a officialisé l'existence de ces régions économiques. Pour la première fois, apparaît le nom Pays de la Loire, avec une composition correspondant à la composition actuelle.
Ces régions économiques sont devenues "Régions de Programmes" en 1956 et ont vu leurs prérogatives étendues ultérieurement.
Comme pour les autres régions françaises, on est très loin de "l'artificielle région administrative décidée à Paris sur un coin de bureau".
Les régions françaises correspondent à une organisation du territoire voulue par les républiques de notre pays, loin des critères de la monarchie absolue de droit divin des province et des critères des fiefs féodaux du moyen-âge.
La dévolution, telle que décrite dans l’article, implique des moyens pour mettre en œuvre les compétences et actions associées listées dans « Les domaines clés d’une dévolution en Bretagne »
Ces moyens, ne peuvent provenir que d’une économie capable de produire les recettes fiscales et sociales nécessaires à l’exercice de ces compétences revendiquées.
Le territoire porteur de cette dévolution devra :
• Par sa composition, être pertinent pour développer cette économie,
• Etre moteur dans l’accompagnement des moyens à mettre en œuvre pour ce développement (infrastructures, mobilités, formation…)
L’économie, ce n’est ni bourgeois, ni kitsch. Juste indispensable.
Concevoir la B4 en fonction des lignes ferroviaires, c'est du kitsch, un concept inséparable de l'industrie et de la consommation de masse.
Le nom Pays de la Loire apparaît pour la première fois en 1938, dans le décret dit Daladier, du 28 septembre.
La région Clémentel n° 5 intégrait, effectivement, la chambre de commerce de Lorient, ainsi que celle de Tours.
Dans le livre de Henri Hauser de 1918, ce géographe qui a travaillé avec Clémentel sur l'élaboration de ces régions, mentionnait, concernant la région de Nantes :
"Deux points douteux seulement : Laval, qui cherche à s'ouvrir des voies navigables vers la côte Nord, est sollicitée de se relier au bloc breton. Inversement Lorient, dont les chantiers de construction navale sont en rapport avec ceux de l'estuaire de la Loire, se demande s'il ne va pas s'orienter vers Nantes"
Les régions Clémentel de 1919 faisaient encore l'objet de réflexions.
Les réponses ont été apportées par le décret de 1938.
Pour les détails, voir les commentaires sur l'article ABP concernant la saisine du CEDH par Bretagne réunie.
Les relations négatives, toujours négatives puisque toujours elles n’ont eu que l’asservissement pour objectifs qu'ils soient royaux, impériaux, et/ou républicains, et plus que millénaires que nous avons et encore avec la France, permettent difficilement à quelques Bretons dont moi, jusqu’à preuves du contraire que les notions de partages de pouvoirs contenues dans votre chapitre :
« Dévolution et avenir commun : La dévolution n’implique pas de rompre les liens avec le pouvoir central. Elle permet simplement de redéfinir ces liens sur une base équitable et respectueuse. Paris garderait certaines compétences régaliennes (diplomatie, armée, monnaie), tandis que la Bretagne gérerait l’essentiel des questions de société et d’économie. […] », soient acceptées par Paris, sans rapports de forces politiques !
Ou déliquescence totale de l’état parisien! Ce qui ne garantirait pas non plus que l’une des ces options soient un jour acquise, mais déliquescence aux signes déjà visibles qui rendrait peut-être pires encore nos conditions d’existence, surtout si nous restons mendiants et de pâles observateurs de l’Histoire qui passe, et qui défile de siècles en siècles avec son cortège de destructions, administrées.
Quant aux Bretons…, les quelques commentaires que avez reçus là, peuvent vous donnez une petite idée des préoccupations (qui pour certaines ne seront sans doutes qu’obtenues et mises en place seulement avec une certaine indépendance), et aussi des convictions qui peuvent être dominantes, en plus des dynamismes sur lesquels vous pouvez compter, dans ce qui reste du Peuple Breton encore habité par des éléments d’une vieille civilisation ?
Enfin, j’ai jeté un coup d’œil sur les sites que vous utilisez et je pense que Yes Breizh c’est bien , mais pour moi un anonymat, au-delà du nécessaire, trop durable, n’est ne sera pas satisfaisant, pas plus que des demandes de dons trop hâtifs… ( ;0)
Breizh da viken ! Et puissiez-vous mener la presqu’île BRETAGNE à bon port, être internaute ne sera pas suffisant comme navigation !
Vous voulez recommencer le coup de A la bretonne, créé uniquement pour faire de l'ombre à Bretagne Réunie?
Qui vous paie ?
Cherchez un peu sur Internet et vous verrez nos noms et nos visages, pour satisfaire votre saine curiosité. Nous ne sommes pas un parti politique, il n'y a donc aucun "leader" chez Yes Breizh. Le seul qui nous commande a un nom très connu : Bretagne.
En fin du Salon du Livre de Karaez, nous avons largement dépassé les cent premiers adhérents, et parmi figurent des membres de Bretagne Réunie.
Qui nous paie ? C'est très simple : aucune subvention, aucun institutionnel. Uniquement des citoyens, Bretonnes et Bretons surtout, mais aussi au-delà.
Nous avons ouvert deux solutions pour adhérer et nous aider, et vous trouverez les liens à la fin de ce communiqué publié par ABP. On sera ravi de recevoir bientôt l'adhésion et/ou un don de G.Keouanton pour nous aider dans notre démarche. Merci de votre commentaire
Il y a vraiment des gens qui vont leur transmettre leur identité et leur envoyer de l'argent ?
Je crois me rappeler que la première mouture de cette association avait été créée par une femme qui était très proche des services de renseignements français, et qui était partie avec des listings d'adhérents de tous les mouvements politiques bretons où elle était passée, l'histoire se répéte encore une fois ?
Demandez l'identité des responsables de Yes Breizh en cachant son propre nom .... comment dire :):)
Non, un vrai site Internet n'est pas gratuit. On ne vous parle pas d'une page de présentation à la va-vite mais d'un site digne d'un mouvement tel que le nôtre : notre modèle et partenaire www.yes.cymru. Vous pensez que leur site a été gratuit ?
Oui "Il y a vraiment des gens qui vont leur transmettre leur identité et leur envoyer de l'argent" : nous venons de dépasser les 2000 euros en quelques jours. Certains, plutôt que de rester derrière leur clavier, adhèrent à Yes Breizh pour participer à changer les choses.
Nous sommes au courant de cette histoire, mais nous sommes une association Loi1901 déposée en préfecture.
Cherchez sur Internet et vous en saurez plus.
Merci de votre commentaire et bonne journée
A galon
Loïg
Ce n'est pas moi qui poste un communiqué appelant à rejoindre votre mouvement, ni à filer plusieurs milliers d'euros. Si vous ne voyez pas la différence entre poster un commentaire sur ABP et votre démarche, remettez-vous en question sérieusement.
Et puis "cherchez sur internet", c'est quoi cette réponse de complotiste ? J'ai cherché, il n'y a rien sur votre site, d'où mon commentaire justement, j'ai même cherché dans le journal officiel des associations, rien. Donc au lieu de votre "faîtes vos propres recherches" donnez les réponses ! Publiez les noms, les statuts du mouvement.
Plusieurs personnes sont étonnées de votre anonymat, et le problème ce sont les gens qui posent la question au lieu d'adhérer massivement à votre mouvement opaque sans nom, sans statuts, on rêve.
Ha et puis, je suis d'accord avec ceux qui émettent un doute sur l'intérêt de l'anonymat. Un projet doit avoir une figure qui doit supporter la critique... sinon c'est pas claire!
Le problème c'est que "yes" ça fait très anglo-saxons et c'est gens là sont en situation délicate avec le monde entier pour faute d'impérialisme... quand on aime sa terre, on ne peut pas faire confiance à ces colinisateurs forcenés De toute façon, ... le combat breton n'est plus là mais bel et bien dans un combat plus pernicieux ; celui du globalisme qu'il faut à mon avis renier. La France est finie en tant qu'état-nation ; elle ne pourra plus imposer aux régions de se soumettre à leurs anciennes lubies... Pour tenir une certaine forme d'état cela peut se faire sur la fédéralisation de l'hexagone. En revanche les personnes qui sont derrière le globalisme, elles peuvent imposer leur impérialisme, c'est déjà une réalité . D'une part parce qu'elles agissent dans l'ombre, d'autre part, parce qu'elles possèdent l'argent et enfin parce qu'elles sont radicalisées dans une idéologie mortifères pour les peules réels ( j'entends ici que la France est constituée de 8 peuples originels ) et même mortifère pour l'humain. La guerre est rejetée en Europe et c'est une preuve suffisante de l'idéologie du globalisme qui ne tient pas compte de l'humain. Les gens comprennent que ça ne tourne pas rond...La France n'est pas menacée par la Russie mais plutôt asservie par les globalistes...
Le droit international ne fonctionne plus...
C'est ici que l'on sent l'impuissance bretonne en ce que même dans sa volonté d'autonomie , elle est incapable d'élever ne serait-ce qu'un discours pour dénoncer les dangers du globalisme.