
Le samedi 1er mars, cent cinquante personnes ont rallié la cause de Bretagne Notre Avenir pour élaborer une nouvelle vision pour la Bretagne.
Le samedi 1er mars, cent cinquante personnes ont rallié la cause de Bretagne Notre Avenir pour élaborer une nouvelle vision pour la Bretagne.
L'enthousiasme palpable et les nombreux messages de soutien reflètent le désir actuel de la Bretagne d'apporter des solutions à une situation politique et économique alarmante.
De nombreux citoyens bretons se sont associés à Bretagne Notre Avenir en signant notre charte fondatrice. Ce document de cinq pages souligne l'importance de nos valeurs humanistes, de tolérance, et le respect absolu de la dignité humaine et des peuples.
Nous croyons fermement qu'un projet pour la Bretagne ne peut être conçu sans ces valeurs humanistes essentielles.
La conjoncture actuelle, marquée par l'essor des extrémismes, fait qu'une réunion publique ne peut plus se tenir sans intrusion indésirable de personnes d’extrême droite ou d’extrême gauche.
Ceux du PNB, en particulier, n’ont pas leur place dans notre mouvement Bretagne Notre Avenir.
Lorsqu'un militant du PNB a pris le micro, nous avons réaffirmé que l’extrême droite n’a aucune place dans notre assemblée.
Comme il a été souligné lors du discours inaugural, Bretagne Notre Avenir est ancré dans les valeurs humanistes. Notre seul but est de construire un projet breton pour redonner de l’espoir à nos compatriotes et endiguer la montée inquiétante des extrêmes et toutes formes de haine.
Bretagne Notre Avenir s'engage à mobiliser toutes les énergies disponibles et à continuer le travail pour redonner aux Bretons les rênes de leur avenir, en toute indépendance des partis politiques parisiens et centralistes.
Le projet que nous jugeons vital pour la Bretagne sera rédigé par les Bretonnes et les Bretons eux-mêmes.
Nous vous convierons très prochainement pour entamer le travail substantiel.
L’équipe organisatrice
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Bretagne notre avenir
Commentaires (15)
et re-belotte !...
Le mot "extrême-droite", importation du dialecte parisiard, se réfère à plusieurs partis qui font 33% en Bretagne et 41% dans l'Hexagone. Pourquoi fonder un mouvement pour l'avenir, en s'aliénant d'emblée un tiers de la population ?
croient-ils que c'est mieux chez les 67% restants ?
sérieusement, le souci de l'avenir de la Bretagne est-il plus marqué chez les défenseurs du chichon ? ou parmi le dernier réduit d'optimistes de la mondialisation ?
Les "discussions de fond" auraient du se faire en amont. C'est de l'amateurisme politique.
Le but est que chaque prétendant aille à l'essentiel c'est-à-dire la Bretagne qui nous outrepasse, qui doit être réunie non pour l'économie, l'écologie, les langues, le Plan routier, etc mais pour elle-même. NB : Pas de ''rattachement" de la Loire Atlantique, ni de réunification comme ruse pour un fumeux "Grand Ouest" au bénéfice de l'hubris nantaise. ... Bretagne réunie, qui n'est ni "de Droite", ni "de Gauche", et qui ne sera pas conforme aux voeux des individualités et idéologies y compris militantes.
Le moyen est la conscience bretonne, le refus catégorique de toute instrumentalisation de la Bretagne qui serait au service d'une stratégie de conquête du pouvoir en France, et même un effort d'humilité sur et par soi.
Sinon, et c'est à craindre, c'est foutu. Et il ne resterait plus alors qu'à regarder sur France 3 la Météo de la Bretagne administrative !
AV
QQ chiffres:
- 35 % des habitants de la Bzh n'y sont pas nés ;
- une naissance sur trois au moins est issue d'au moins un parent né hors UE, très largement africaine
Dans ces conditions l'Emsav devrait se demander ouvertement comment faire pour survivre devant ce nivellement.
A mon avis deux axes :
- faire des enfants
- renouer avec la foi chrétienne, origine de nos valeurs de toujours.
Si le PNB finit comme le FN/RN, le remplacement continuera.
Il y a 1.4 milliards d'africains..on ne combat le feu par le feu.
et face à un menhir, ça se passe comment pour la chrétienté de toujours ?.....
L'arme nucléaire est de non emploi. L'État qui en fait la menace en dénature le sens et se décrédibilise lui-même.
Tout usage en premier de cette arme contre un État doté est la certitude, au moins pire, de l'impossibilité de survie. Car l'attaqué dispose de gros moyens pour répondre. Le candidat attaquant raisonnable n'est pas suicidaire et doit savoir que son éventuelle victime, (preuve que la dissuasion n'a malheureusement pas fonctionné), le détruira certainement.
L'enjeu n'est pas de vaincre tel ou tel ennemi mais de gagner la Paix.
Pour la France, la dissuasion c'est la conviction partagée par tous les États de la volonté certaine de son Président de produire des ravages insupportables chez celui qui aurait été assez fou pour l'attaquer. Alors peu importe de disposer de 3.000 ou de 300 bombes opérationnelles.
On a ou on n'a pas cette capacité de dissuasion. Il faut et il suffit que tout adversaire soit certain que sa vie sera un enfer, s'il survit, après avoir transgressé notre dissuasion.
Il est bien affirmé qu'existent des intérêts vitaux mais ils ne sont jamais définis. L'ambiguïté stratégique est aussi un des moyens de la dissuasion qui est globale et ne se partage pas.
Tous ceux qui entre des messages publicitaires, tentent de faire peur ou même de paniquer, ou qui tentent de générer un climat de renoncement, ne sont pas sérieux, sont dangereux et ils abaissent gravement le débat dans l'opinion publique.
AV
Vous avez écrit supra (8 III à 11:32): " (...) avec cette militarisation à outrance de notre péninsule l'alignement des planètes serait total pour en faire une cible de choix dont les conséquences en cas de bombardement, voir d'invasion seraient cataclysmiques d'une autre ampleur que les destructions de la seconde guerre mondiale limitées aux villes. La présence de l'ile longue (...)." Vous parlez de bombardement ou d'invasion de la Bretagne. Par qui ?
Vous ajoutiez pour rassurer sans doute : " (...) la population bretonne (...) est menacée, (...). Je vous conseille de prendre ce sujet à bras le corps pour que (...) nous n'ayons pas a payer encore le prix fort d'une éventuelle extension de la guerre en Europe (...)". Suggérez-vous que la Russie qui a signé avec l'Ukraine le Traité de Budapest (1994) et qui abominablement l'agresse depuis 2014 aurait, en plus, des projets en Bretagne !
Et encore (13 III - 19:16) : "Cependant sans ces armes nucléaires la Bretagne peut être mise à feu et à sang, (...)"
A qui pensez-vous donc pour effectuer une telle barbarie ? Ces mots pourraient-ils avoir été écrits pour empêcher toute panique ?
NB : Le seul cas d'emploi du nucléaire eut lieu contre le Japon. Les USA étaient seuls détenteurs de ces armes conçues et utilisées comme beaucoup plus destructrices que les ordinaires. En 1945, la notion de dissuasion (Nucléaire, Bactériologique, Chimique) n'existait évidemment pas.
Tout ceci laisse penser ( 1 ) - que vous envisagez une attaque de la Bretagne par une puissance ayant fait de l'UE son ennemi déclaré et ( 2 ) - que vous ne croyez pas à notre assurance-vie : la dissuasion.
AV (Ancien Auditeur IHEDN - 1984)
En effet ce sont mes craintes, cependant ce ne serait pas évidemment la Bretagne qui serait attaquée en temps que pays, mais elle sera la première à subir les conséquences désastreuses d'un conflit entre la France la Russie et ses alliés qui par surprise vont attaquer par voie aérienne et maritime, je comprends que cette hypothèse peut sembler fantaisiste, seulement on n'attendait pas les chars de Gouderian dans le massif infranchissable des Ardennes non plus. En cas d'extension du conflit ukrainien les russes n'arriveraient pas à faire face à une coalition européenne à l'est, c'est une des raisons pour lesquelles ils attaqueraient par un ventre plus mou et stratégique à l'instar de la pointe bretonne, ce qui leur permettraient de neutraliser au moins partiellement les défenses françaises Je ne crois pas à l'assurance vie nucléaire, elle est d'ailleurs remise en question par des généraux comme le général Norlain qui va jusqu'à la comparer à la ligne Maginot
https://espritsurcouf.fr/defense_une-dissuasion-nucleaire-inadaptee_par_le-general-2s-bernard-norlain/
Pourquoi "En cas d'extension du conflit ukrainien les russes (qui) n'arriveraient pas à faire face à une coalition européenne à l'Est" réuniraient-ils, selon vous, à "neutraliser au moins partiellement les défenses françaises" dans "le ventre mou et stratégique" qu'est ou que serait l'Ouest de l'Europe dont la Bretagne, sans mettre en cause les intérêts vitaux de la France et sa dissuasion ?
Imagineriez-vous, un instant, que nos alliés Britanniques pourraient tolérer une attaque ou une invasion russe de l'Ouest de la France affectant nécessairement leurs intérêts vitaux sans réagir ?
Oubliez-vous que l'UE est aussi une alliance militaire défensive ?
A force de qualifier "l'assurance-vie nucléaire" et ainsi la dissuasion de Ligne Maginot qui avait ses mérites, vous en oubliez l'essentiel.
Je cesse cette discussion qui ne peut prospérer.
AV