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Dans un pensionnat d'enfants autochtones :  Interdit de porter des mocassins, des perles, des plumes, des cheveux longs, des tresses ou de parler algonquin, micmac, crie, ojibwé ou inuit. En arrivant, les enfants devaient aussi abandonner leur nom indien. On les rebaptisait avec des prénoms chrétiens et des noms de famille avec des consonances anglaises ou françaises. Ils avaient aussi un matricule.
Dans un pensionnat d'enfants autochtones : Interdit de porter des mocassins, des perles, des plumes, des cheveux longs, des tresses ou de parler algonquin, micmac, crie, ojibwé ou inuit. En arrivant, les enfants devaient aussi abandonner leur nom indien. On les rebaptisait avec des prénoms chrétiens et des noms de famille avec des consonances anglaises ou françaises. Ils avaient aussi un matricule.
- Chronique -
Le Canada reconnaît le génocide culturel des autochtones et va verser des réparations
Des milliers d'élèves autochtones du Canada éduqués dans environ 130 pensionnats du XIXe siècle aux années 1990 se sont vu interdire, parfois par la violence coercitive, de parler leurs langues ancestrales et de pratiquer leurs traditions un peu comme dans les écoles en Bretagne avec l'interdiction d'y parler breton.
Philippe Argouarch pour ABP le 23/01/23 23:20
L'héritage des pensionnats indiens au Québec :
Réalisation : La Commission de la santé et des services sociaux des Premières Nations du Québec et du Labrador (C
(47 627 vues)

Selon le New-York Times, le Canada a déclaré samedi 21 janvier qu'il avait accepté de payer 2,8 milliards de dollars canadiens, soit environ 2 milliards d'euros, pour régler la dernière d'une série de poursuites judiciaires visant à obtenir des réparations pour le préjudice causé aux peuples autochtones (1) par le biais d'un système de pensionnats obligatoires qu'une commission nationale a appelé génocide culturel.

La décision de justice résout un recours collectif intenté en 2012 par 325 "Premières Nations" (1) qui demandaient une compensation pour l'éradication de leurs cultures et langues. Le gouvernement canadien a alors créé une commission, la Commission de vérité et réconciliation. Elle a produit un rapport accablant . Rozenn Milin cite amplement ce rapport dans sa thèse récente intitulée Du sabot au crâne de singe : histoire, modalités et conséquences de l’imposition d’une langue dominante dans sa section sur le Canada.

Le Canada s'engage à réparer les préjudices collectifs causés par le système des pensionnats et la perte de la langue, de la culture et du patrimoine - communiqué le ministère des Relations Couronne-Autochtones du Canada.

Des milliers d'élèves autochtones éduqués dans environ 130 pensionnats du XIXe siècle aux années 1990 se sont vu interdire, parfois par la violence coercitive, de parler leurs langues ancestrales et de pratiquer leurs traditions un peu comme en Bretagne où l'on mettait un sabot autour du cou d'un élève surpris à parler breton (le symbole). Les enfants travaillaient aussi dans les établissements. Ils maintenaient les lieux propres et fonctionnels, travaillaient en cuisine, dans les buanderies, faisaient le ménage, etc. Des emplois non-salariés que l'on peut assimiler à de l'esclavage. Le froid, la faim, la violence et les abus de toutes sortes semblent avoir été la règle. Les punitions étaient le plus souvent corporelles. Les enfants étaient fouettés avec une lanière de cuir.

Le gouvernement canadien semble blâmer les institutions religieuses mais les auteurs du rapport ont retrouvé une déclaration du Premier ministre du Canada datant de 1883. Il déclare « pour soustraire autant que possible les enfants sauvages à l’influence de leurs parents, le seul moyen d’y réussir serait de placer ces enfants dans des écoles industrielles centrales, où ils adopteraient les habitudes et les façons de penser des blancs ».

Lorsque l’école est sur la réserve, l’enfant vit avec ses parents, qui sont sauvages ; il est entouré de sauvages, et bien qu’il puisse apprendre à lire et écrire, ses habitudes, son éducation domestique, et ses façons de penser, restent celles des sauvages. En un mot, c’est un sauvage capable de lire et d’écrire. On a fortement insisté auprès de moi, comme chef du département de l’Intérieur, pour soustraire autant que possible les enfants sauvages à l’influence de leurs parents. Or, le seul moyen d’y réussir serait de placer ces enfants dans des écoles industrielles centrales, où ils adopteraient les habitudes et les façons de penser des blancs - le premier ministre du Canada, sir John A. Macdonald, s’adresse ainsi à la Chambre des communes en 1883.

Les enfants autochtones étaient parfois enlevés de force à leur famille et envoyés dans ces écoles. Selon le rapport, les pensionnats indiens au Canada étaient principalement financés et gérés par le gouvernement du Canada, l'Église catholique, les Églises anglicane, méthodiste, presbytérienne, et l'Église unie.

Beaucoup d'enfants ont été maltraités ou mal soignés et sont décédés dans ces établissements, les corps n'étaient pas rendus aux familles. Plus de 1300 tombes auraient été identifiées. Dès leur arrivée les enfants n'avaient plus le droit de parler leur langue maternelle. Ils ne devaient parler qu'anglais et dans certaines écoles le français. Si on les entendait parler leur langue ils étaient battus ou on leur lavait la bouche avec du savon. La plupart ne connaissaient pas un mot d'anglais ou de français en arrivant.

Alphonsine McNeely fréquentait l’école catholique d’Aklavik dans les années 1940. À un certain moment, une sœur les a entendues, elle et son amie, s’enseigner leurs langues respectives : Elle m’a pris... je ne sais pas pourquoi elles étaient toujours contre moi. En tout cas, elle m’a menée à l’évier, elle a pris ça, le savon Sunlight qu’ils avaient, une sorte de grosse barre, elle a pris une brosse, une brosse à plancher, j’ai pensé qu’elle allait me faire frotter le plancher ou quelque chose comme ça. À la place, elle, elle m’a tirée par les cheveux et elle a commencé à me frotter la bouche avec--Dans "Les survivants s'expriment", un des rapports de la Commission.

Pour Marcel Guiboche, de l’école de Pine Creek, l’expérience a été effrayante : Une sœur, une religieuse a commencé à me parler en anglais et en français, et elle criait après moi. Je ne parlais pas anglais et je ne comprenais pas ce qu’elle, ce qu’elle demandait. Elle est devenue très fâchée et elle a commencé à me frapper partout sur le corps, sur les mains, sur les jambes et dans le dos. J’ai commencé à pleurer, à crier, et j’ai eu très peur, et ça l’a rendue encore plus furieuse. Elle a pris une ceinture noire et m’a frappé encore plus. -Dans "Les survivants s'expriment", un des rapports de la Commission.

En juillet dernier, alors en visite dans l'Alberta au Canada, le pape François avait présenté des excuses historiques aux peuples autochtones au sujet "des abus physiques et verbaux, psychologiques et spirituels" qui ont eu lieu dans ces pensionnats. Il a demandé pardon.

Oui, les écoles peuvent être aussi des lieux d'ethnocides, voire de génocides culturels. Elles ne servent pas uniquement à l'éducation, elles sont aussi des lieux privilégiés de politiques d'assimilation menées par les états qui incluent des minorités nationales ou des peuples conquis. Quant aux églises, elles ont rivalisé de zèle. Ce fut à qui convertirait le plus à sa version du christianisme, bannissant toute forme de spiritualité qui existait parmi les peuples autochtones.

L'école peut devenir le lieu de rupture entre un peuple et une nation dominante. Certes ces enfants apprenaient de petits métiers , mais la commission a reconnu que le Canada a « séparé les enfants de leurs parents en les envoyant dans des pensionnats. Cela n’a pas été fait pour les éduquer, mais principalement pour rompre leurs liens avec leur culture et leur identité. ». Si la culture est ce qui est transmis d'une génération à une autre, ces pensionnats étaient des lieux de transculturations, c'est-à-dire du passage forcé d'une culture à une autre.

(1) Les Premières Nations (en anglais : First Nations) sont les peuples autochtones du Canada inscrits et non-inscrits en vertu de la Loi sur les Indiens. L'expression s'est répandue dans les années 1970 afin de remplacer le mot « Indiens », jugé offensant.

Voir aussi :
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Philippe Argouarch est un reporter multi-média ABP pour la Cornouaille. Il a lancé ABP en octobre 2003. Auparavant, il a été le webmaster de l'International Herald Tribune à Paris et avant ça, un des trois webmasters de la Wells Fargo Bank à San Francisco. Il a aussi travaillé dans des start-up et dans un laboratoire de recherche de l'université de Stanford.
Voir tous les articles de de Philippe Argouarch
Vos 16 commentaires :
Rafig le breton Le Lundi 23 janvier 2023 13:30
Comme l'ont fait les médias d'Amérique du nord (Canada; USA) , ils ont décidés de faire attentions aux noms des peuples lorsqu'ils publient un article. Réflexion sur le bon terme pour désigner un descendant d'esclave africain, une personne issue d'un des peuples d'Amérique ou comment appeler une personne et son orientation sexuelle.
Après plusieurs décennies de propositions, tous les médias (progressistes) ont adopté une ligne de conduite pour le respect des gens et peuples cités dans leurs articles.
- FINI les INDIENS : pour parler des peuples qui ont vécus avant l'arrivée des colons européens et survécus de nos jours en Amérique. Ni des Amer-indiens mais des natifs, des autochtones ou nommés par le nom de leur peuple : Apache, Sioux, Inuite, Asthèque ...
La meilleur réparation que l'on puisse apporter aux peuples martyrises c'est de les appeler comme ils le souhaite en plus des réparations judiciaires.
Mais voilà en France, les médias ont pris la mauvaise habitude de ne rien changer aux termes coloniaux, racistes et non-respectueux des peuples sous sa coupe.
Pour un média breton, il faudrait s'aligner sur les plus progressifs.
(1) 

Anne Merrien Le Lundi 23 janvier 2023 14:05
Ces réparations serviront-elles à sauver ce qui peut l'être de ces langues et de ces cultures ?
(3) 
De David Keragan à Anne MerrienLe Mercredi 25 janvier 2023 22:07
On compte plus de 600 Premières Nations à travers tout le pays et le recensement effectué par Statistique Canada en 2016 a permis d'y dénombrer plus de 70 langues autochtones. Celles-ci sont regroupées en 12 familles linguistiques distinctes. Malgré cette diversité linguistique, seulement trois d'entre elles (les langues cries, l'inuktitut et l'ojibwé) représentent près des deux tiers des populations autochtones et moins d’un tiers des Autochtones du Canada se disent capables aujourd'hui de parler ou de comprendre une langue autochtone. Pour la plupart de ces locuteurs, la langue autochtone est une langue seconde. C'est un constat qui est malheureusement triste, et tout ce qui concerne les questions liées aux peuples autochtones, ici au Canada, sont très sensibles, et toutes demandes doivent venir de nos concitoyens autochtones.
(1)

Pcosquer Le Lundi 23 janvier 2023 19:25
325 "Premières Nations"...
D'une seule voix!
Regarder son passé commun et le porter ensemble...
Avoir la force de protéger sa dignité...
Demain l'identité n'aura pas de prix pour exister vraiment!
Quelle leçon pour les "peuples originels" dont nous nous réclamons
Gant ma vo saveteet o sevenadurioù a zo o yezhoù enno merkoù pennañ.
(0) 

Anne Merrien Le Mardi 24 janvier 2023 19:04
Idem en Guyane française.
A écouter sur France-Culture, le 17 janvier dernier.
(0) 

Paskal Le Mercredi 25 janvier 2023 15:36
C'est tres bien. C'etait la moindre des choses pour ces peuples ayant connu de telles horreurs.
Et nous, pauvres Bretons, nous attendons toujours et encore reparation, sans parler d'une reconnaissance en tant que peuple.
Certains diront que nous ne pouvons pas comparer notre situation aux leurs, c'est exact. Que dire pourtant du sentiment de honte de parler sa langue, des taux anormaux d'alcoolisme et de suicide, de ces tristes comportements specifiques aux peuples humilies ? Et puis, comment ce fait-il que nous soyons en general plus receptifs et plus sensibles aux problemes d'acculturation des autres peuples dits minoritaires ? N'est-ce pas parce que ce sont la des problematiques qui nous sont aussi familieres ?
Notre probleme, si je peux dire, c'est que nous n'avons pas ete victimes de crimes contre l'humanite (dans l'histoire recente), pour legitimer, pour meriter la reconnaissance a laquelle nous aspirons. C'est bien sur mieux ainsi, mais c'est tout de meme la, de la part de nos detracteurs, une facon de penser absurde et meme emprunte d'un certain sadisme positif, quand elle amene a decider si un groupe d'hommes et de femmes peuvent oui ou non avoir le droit d'exister en tant que peuple.
(3) 

pierre daniel Le Mercredi 25 janvier 2023 16:55
demat
quelque soi le niveau celui qui martyrise doit des excuses . Et la France nous doit des excuses .Ce que la France a commit a l'encontre de la Langue Bretonne n'est pas excusable ,pardonnable
La France nous doit réparation, et le fera l'histoire l'y obligera . Les deux langues de Bretagne doivent etre langues officielles ,comme dans tous les pays ou plusieurs langues existent .
Seul un pays fasciste interdit a un peuple l'usage de sa langue et morcelle son territoire
a galon bevet Beizh
(1) 

Penn Kaled Le Jeudi 26 janvier 2023 09:01
Pierre Daniel si je partage en général vos point de vue ,je crains que vous preniez vos désirs pour des réalités .Sauf miracle l'avenir de la Bretagne me parait sombre ....du fait aussi de l'indifférence d'une grande partie de la population ,cette réalité peut avoir des causes historiques bien lointaines que le mouvement breton se refuse à analyser ,vu que c'est la lecture historique aristocratique qui a prévalu .Je n'enlève pas pour autant la compétence des historiens .
(0) 

jakez Lhéritier de Sant Nazer Le Jeudi 26 janvier 2023 09:49
La Bretagne est victime de la colonisation
La France organise des génocides par substitution:
exemple en Loire Atlantique,avec la Réunion,les Antilles,la nouvelle Calédonie.. ...
Comment internationalement nous faire respecter,si électoralement nous sommes aussi faibles par la complicité d'organisations bretonnes avec les gouvernements en place..?
Les élections européennes en 2024 UNION BRETONNE.
Les élections municipales en 2026:UNION BRETONNE
Une action de terrain à l'ONU-A Bruxelles,-A Strasbourg,A Genève...?
Une pétition internationale expliquant nos combats et dénonçant l'attitude des gouvernements français de gauche comme de droite.avec appel de soutien financier.
l'ABP pourrait peut être nous conseiller ?
(0) 

KLG Le Jeudi 26 janvier 2023 11:08
La grosse différence entre ces peuples et nous, c'est la couleur de peau. C'est avant tout cela que "reconnait" le gouvernement canadien en réalité, dans un contexte où la population canadienne elle même évolue.
Nous, nous sommes blancs. Donc des criminels. La question des peuples autochotones et de leur droit n'est pas la vraie motivation de ces reconnaissances qui ne mangent pas de pain.
Par ailleurs ces "reconnaissances" n'auraient jamais eu lieu si les indiens pouvaient réellement prétendre à quoique ce soit de sérieux en 2023. Plus aucun retour en arrière n'est possible pour eux. Ces reconnaissances ne s'adressent pas aux peuples premiers en réalité, bien plus aux populations canadiennes travaillés par des problèmes identitaires (notamment au Quebec).
(7) 

Alain E. VALLÉE Le Jeudi 26 janvier 2023 11:37
Trop souvent les gouvernements des États coupables, dans un savant contexte politicien, payent tardivement et plus ou oins spontanément des sommes finalement assez dérisoires pour obtenir une paix intérieure juridiquement formelle en ayant pris soin de conditionner les versements au définitif abandon des plaintes devant la Justice. C'est encore là une manifestation de la domination du prédateur délinquant sur ses innocentes victimes.
AV
(1) 

pierre daniel Le Jeudi 26 janvier 2023 13:04
demat
d'accord avec vous penn Kaled mais ce ne sont pas mes désirs . Oui l'avenir de la Bretagne est sombre,mais je regarde aussi ce qui éclaire et illumine le présent et l'avenir de notre nation et en premier le refus de disparaitre,et surtout les luttes de toutes nos associations pour défendre et notre culture dans toutes ses facettes :langue,musique réunification etc Toutes ces associations,et bénévoles sont notre honneur,et notre survie pour un avenir qui n'en doutez pas nous apportera la liberté grace a toutes ces "petites fourmis anonymes ou modestes" .
L'avenir du monde est sombre, très sombre meme ? Pour ma part je considère que l'aventure humaine est un échec .
Et probablement que le biotope, ou Gaia, ou toute autre conscience,appelez comme vous voulez selon vos croyances a ou ont déja décidés l'arrèt de l'aventure humaine . En tout cas lorsque l'aventure humaine deviendra un danger réel pour la terre nous disparaitrons . Et la conscience qui nous dirige mettra en place une nouvelle aventure .
Soyons optimistes nous sommes au bord du gouffre et nos dirigeants nous encourage a une marche en avant
Comme nous ne plantons pas un arbre pour nous mais pour nos enfants. Nous ne nous battons pas pour la Bretagne pour nous mais pour nos enfants
a galon
(0) 
De Penn Kaled à pierre danielLe Jeudi 26 janvier 2023 18:54
Trugarez deoc'h evit o respont a bouez
(1)

David Keragan Le Jeudi 26 janvier 2023 16:03
En Colombie-Britanique, à Williams Lake dans la région de Cariboo, l'enquêteur principal d'une Première Nation a annoncé que l'enquête en cours a révélé qu'au moins 28 enfants sont morts sur le terrain d'un ancien pensionnat, et identifié 66 autres lieux de sépultures potentielles (en plus des 90 découvertes l'an dernier sur le même site.).C'est la triste réalité de ce qui se passe sur place, quand les Premières Nations ne sont pas occupées à se battre pour défendre leurs droits et traditions, leurs terres ancestrales contre les compagnies pétrolières, elles cherchent leurs morts.
https://www.cbc.ca/news/canada/british-columbia/williams-lake-st-josephs-residential-school-1.6724370
(2) 

Gérard GAUTIER Le Mardi 31 janvier 2023 10:23
Bonjour,
Je viens de recevoir la Lettre de Michel Feltin-Palas L'Express cet article.
Aussi je l'ai fait suivre aux Amis de l'association Baie de Saint-Brieuc Québec.

" Je vous le fais parvenir car cela a un rapport avec le rôle joué par Max Gros Louis que certains ont eu la chance de rencontrer.
Il a été l’initiateur du concept des Premières Nations.
J'ajoute qu'il a certainement joué un grand rôle dans la création du Musée des Civilisations à Paris.
Rosenn MILIN a dû le rencontrer...
Belle journée.
Gérard Gautier Saint-Brieuc le 31 janvier 2023
Baie de Saint-Brieuc Québec
18 rue de Penthièvre 22000 Saint-Brieuc
Téléphone : 02.96.33.50.34 Courriel : servicecompris [at] wanadoo.fr
(0) 

Laurence Le Mercredi 1 février 2023 18:37
Le terme autochtone ne désigne pas seulement les premières nations mais aussi les inuits et les métis, bref tous ceux qui peuvent remonter leurs origines avant la colonisation et qui ne sont ni de souche européenne ou d'immigration récente.
(0) 

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