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- Chronique -
Le nouveau CD de Louis Capart, "De l'Aube au Crépuscule"

Très honnêtement, ces 12 créations inédites qui constituent le coeur du nouvel album nous ont enthousiasmé. Quelle écriture, quelle voix, quelles mélodies ! La richesse des mélodies d’une rondeur feutrée, la sobriété et la finesse des arrangements, l’écriture ciselée, l’intense interprétation, l’excellente diction dans une rythmique parfaitement liée et voluptueuse, soulignent le cheminement humaniste et de proximité que l’artiste semble vouloir, toujours, et depuis si longtemps, privilégier avec son auditoire.

Gérard Simon pour Culture et Celtie le 22/09/16 11:16
Titre : L'aube Interprête : chanteur, auteur, compositeur, Louis CAPART Album : "de l'Aube au crépuscule"

Autant, instantanément, le divulguer, dès l’orée de cette modeste mais très sincère chronique sonorisée, il y a très longtemps que « Culture et celtie, l’e-MAGazine », briguant, à tous instants et pour tous styles artistiques que notre site Internet aborde pour vous, la qualité et l’acuité créative, souhaitait mettre à la « Une » de sa publication en ligne, un remarquable auteur compositeur interprète dont les Bretons ont fait, pleinement, leur… Monsieur Louis Capart !

Certes, vous ne retrouverez pas dans la musique de ce viscéral « artiste-artisan », né à Paris, dans le quartier de Ménilmontant, d'une mère sénane et d'un père picard, la présence d’instruments traditionnels, d’airs à danser ou, à une rare exception, une chanson en langue bretonne (1).

Mais le Breton et francophone Louis Capart, notamment très « amarré » à l’univers maritime, est aussi… Bretagne !

Destinataire, comme bien d’autres artistes bretons très connus ou plus en retrait de la lumière, de notre Lettre périodique qui annonce et tente d’éclairer les sujets de nos nouvelles mises en ligne, Louis Capart, en bonne connaissance de notre parcours éditorial, nous a exprimé son crédit, en nous adressant, son nouveau double album « De l’Aube au Crépuscule ». Nous le remercions, chaleureusement pour ce beau geste de confiance.

Inutile de vous dire que sachant, car nous sommes fidèle « auditeur » de son oeuvre, la grande qualité sémantique et syntaxique de celle-ci, nous en avons été honoré et, surtout, particulièrement, heureux.

Ouvrant le fort protecteur colis reçu par La Poste, aucune crainte pour vos très prochaines commandes, nous avons pu découvrir un bel « objet », dont l’apparence s’apparente à celle d’un quasi petit coffret !

L’artiste, décidément, très respectueux de son public et de l’homogénéité et de l’harmonie de la présentation des « belles choses » qu’il nous propose ne précise t-il pas ?

« Dans sa forme, cet album de 2 CD complète celui des « Premières Chansons ». Vous y retrouverez un livret de 48 pages comprenant les textes des chansons et de nombreuses photos. Il était important, comme pour un livre, de proposer plus que ne peut offrir un téléchargement, même légal ».

Loin du butinement compulsif de beaucoup qui fait, trop souvent, de téléchargements en téléchargements parcellaires, translater la noble création artistique en banal bien de consommation courante de court terme dont on oublie, très vite, jusqu’à l’interprète, cet amour « culte » pour la consistance et la richesse de toutes les facettes d’un plein album, d’un objet musical soigné, « Culture et Celtie, l’e-MAGazine » partage, pleinement, le point de vue de l’artiste, mieux, le revendique. Un fichier musical informatisé peut, certes, vous faire découvrir, à la volée, un artiste inconnu de vous, mais il n’en demeure à nos yeux… et, heureusement, au regard de nombre de mélomanes avertis, qu’un préalable, des prémices à l’acquisition et à la dégustation du disque « physique », comme l’on dit, maintenant. Faut-il que l’objet soit de belle facture !

C’est effectivement le cas pour « De l’Aube au Crépuscule ».

Au-delà de la prime et volumineuse apparence, décrite en ce début de paragraphe, lorsque vous ouvrez ce « recueil de mots et de notes », vous voici, par un triptyque déployé, plongé au coeur d’une panoramique « peinture photographique » au nuancier maritime orangé, signée de l’oeil et du talent de Marie-Noëlle Fröliger. Est-ce une « Aube », est-ce un « Crépuscule » ? Ces deux instants, toujours d’exception, se confondent à l’oeil et, a fortiori, sous l’objectif d’une « boîte à clichés ».

« Pour me revoir dans tes yeux,

Chaque matin, je renais.

Profitons, ensemble, d’être vieux

Ces moments ne reviendront jamais ».

Ces quatre phrases, aux rimes croisées, figurant, sur le panneau central, au coeur de cette généreuse présentation, paraît nous dépeindre le contexte réaliste du vieillissement, toutefois accepté, par lequel l’artiste semble, avec sérénité et optimisme vouloir se « projeter dans le temps qui passe », en nous invitant à le suivre, sans nostalgie, sans amertume, mais avec saveur.

Escortant ces bien jolis mots, les volets latéraux retiennent les 2 CD dont les étiquettes imagées prolongent, à la perfection, ce paysage essentiel.

Lorsque nous recevons un enregistrement, de la part de nos artistes ou de leur maison de production, voire de distribution, il est coutumier et presque instinctif, de nous précipiter pour le glisser, quasi immédiatement, dans la « bouche révélatrice » du lecteur de notre chaîne.

Comme nous vous le mentionnions, plus haut, appréciant, au plus haut point, l’extraordinaire virtuosité d’écriture de Monsieur Capart, notre démarche, grâce au livret adjoint à la jaquette, a été tout autre.

Effectivement, nous avons, dans ce cas bien spécifique, avant toute audition, souhaité lire tous les couplets et refrains pétris de descriptions, narrations, et convictions… mais toujours de délicate, respectueuse et pudique poésie, qui y sont en intégralité consignés.

Pour les 12 titres inédits qui seront, exclusivement, retenus dans le périmètre de notre présentation, nous avons, ainsi, sans musique, « écouté » le chant des mots de ce remarquable auteur, qui, au fil de leur limpide composition, semblaient nous dicter nos propres mélodies imaginées.

« Écoutez », plutôt :

« Le monde se rétrécit,

On le sait quand on vieillit.

Quand on cache au fond d’une prison,

L’aube sur de nouveaux horizons,

On prend chacun dans sa vie

Un petit coup de ciel gris

Une aiguille au coeur qui donne l’heure,

Des regrets au passé intérieur ».

(L’aube).

« J’aimerais qu’il existe, au fond de nos mémoires

Des rayons bien remplis de livres alignés qui nous raconteraient,

Au fil du temps passé, les secrets de l’histoire,

La vie de nos anciens pas celle de barons, de quelque roitelet ».

(L’oubli).

« Nous n’aurons jamais le bonheur de revivre ensemble,

Amis de mes jeunes années,

De refaire un bout de chemin comme bon nous semble,

Retrouver notre liberté.

Où êtes-vous maintenant que l’âge nous sépare

Au gré de l’hiver et du vent,

Il est loin le temps où les bons souvenirs s’égarent

Dans nos désirs d’adolescents ».

(Le Crépuscule).

Au sein du livret, les photos en noir et blanc, certes de petit format, qui illustrent, presque à chaque page tournée, les images textuelles sus-évoquées, prennent toutes leurs dimensions grâce aux talents de Gérard Classe et, en grande majorité, de Marie-Noëlle Fröliger.

Elles demeurent parfaitement compatibles et complémentaires avec les quatre clichés, à prédominance maritime, qui ouvrent et ferment le livret, ornent la façade ou le verso interne de la jaquette. Quand le talent du photographe sait conjuguer « couleurs » avec « valeurs », on ne peut obtenir que cette homogène fresque.

Cette longue présentation visuelle et textuelle, à nos yeux, parfaitement justifiée lorsque des efforts artistiques évidents sont, particulièrement, entrepris pour enjoliver et documenter un album, ne nous fait, absolument, pas oublier, de vous présenter les 12 titres inédits qui sont l’âme intrinsèque de ce nouvel enregistrement « De l’Aube au Crépuscule ».

Oh ! bien sûr, nous nous gardons bien de passer, méthodiquement, en revue cette douzaine de créations, toutes plus séduisantes ou attractives les unes que les autres.

Elles sont majoritairement signées de la main du sagace auteur compositeur.

4 titres associent à leurs notes et mots, d’autres noms.

« Aux Quais du Vieux Lorient » est signé Charles Carteron et Gilles Beuzet et emprunté au groupe Shangaïe, avec Nicolas Le Rallic, qui l’avaient interprété sur le CD « Sans retour ni consignes - Chansons marinées », paru en avril 1995.

« Au large de ma naissance » doit ses paroles et sa musique au Montpelliérain, à ce jour, sétois, Jacques Barthes, chanteur, guitariste et compositeur, qui s'intéresse, aussi, à la pédagogie musicale en milieu scolaire : (voir le site)

Jean-Roger Caussimon et Léo Ferré sont, bien sûr, respectivement les auteurs et compositeurs de « Comme à Ostende » que l’auteur de « Merci Léo » (7e plage de la réédition intégrale de « l’Héritage Sénan » - CD 2) reprend sur le 1er disque que, par ces lignes, nous « parcourons », ensemble.

Léo Ferré, né le 24 août 1916, aurait eu 100 ans, cette année et c’est une bien belle et respectueuse version que nous offre, ici, Louis Capart, l’un de ses plus fervents disciples. C'est en effet en écoutant, à 16 ans, Léo Ferré, que Louis Capart a eu une révélation pour la chanson et le chant.

Quant au traditionnel « Down by the Salley Gardens », les paroles sont de William Butler Yeats. Nous en connaissions une émouvante interprétation par Maura Ó Connel et Karen Matheson, chanteuse que nous avions retrouvée, souvenez-vous, sociétaire du projet Héritage des Celtes, initié par Dan Ar Braz.

Louis Capart nous propose, ici, une version où nous découvrons de lui un spectre vocal différent, plus étendu dans les hauteurs… Décidément, Louis nous surprend, nous intéresse, nous capte, à chaque instant.

Il est grand temps de vous présenter également l’aréopage de musiciens qui accompagne la tonique voix à la brûlante tessiture, étonnamment pure, de notre poète-chanteur.

Aux guitares et basse, Dominique Robineau. Ce musicien, compositeur et producteur, originaire de Saumur et quimpérois depuis 1990, enseigne aussi, au Centre d’Art de Douarnenez et du Cap Sizun : (voir le site)

Sylvain Lecoq est au violoncelle. Il se produit, en duo, avec Armelle Lecoq en abordant le répertoire des « grands » de la chanson française (Barbara, Brassens, Brel, Ferrat).

À l’accordéon officie le véloce Alain Trevarin. En mai 2013, il a enregistré avec Didier Squiban, « Cordes et lames » (Coop Breizh) : (voir le site)

Aux claviers courent les doigts de Pierre-Louis Carsin qui, par ailleurs, fait partie du joyeux groupe Les soupeurs : (voir le site)

Aux flûtes s’exprime Erwann Menguy, bien implanté dans la musique bretonne, celtique, par de multiples collaborations, comme le précise son site officiel : (voir le site)

Le violon chante ou « mélancolise » sous l’archet de Youenn Rohaut : (voir le site)

Né en Bretagne en 1986, il commence par la musique traditionnelle bretonne et irlandaise au contact de Christian Lemaitre et Jacky Molard.

Résidant actuellement à Rennes, il est membre du cinquième collectif de la Kreiz Breizh Akademi, sous la direction d’Erik Marchand et d’Hélène Labarrière.

Ces orfèvres font un écrin discret aux joyaux que sont les chansons de l’auteur du célébrissime « Marie-Jeanne-Gabrielle » (2), repris, par ailleurs, sur la dernière plage de la réédition de l’album « Rives Gauches ».

Ces 6 musiciens soulignent, enjolivent, colorent, magnifiquement les textes sans jamais les envahir. La voix du chanteur « est devant », à tous instants, parfaitement intelligible, prenante, interpellante.

Cela n’empêche aucunement les instrumentistes de s’exprimer par quelques phrasés bien placés et souvent partagés. Violoncelle et guitare, dans « L’Aube », accordéon dans « L’Oubli » ou pour créer l’ambiance portuaire des « Quais du Vieux Lorient », flûte, violon et guitare, dans « L’Infini ». Les exemples sont multiples.

À ce stade, rendons hommage à la remarquable réalisation technique de Pierre-Louis Carsin du studio briochain « TooT » : (voir le site)

Très honnêtement, ces 12 créations inédites qui constituent le coeur du nouvel album nous ont enthousiasmé.

Quelle écriture, quelle voix, quelles mélodies !

Nous ne feront pas à Monsieur Louis Capart la suprême injure de dévoyer notre chronique vers une quelconque et bien inutile explication de textes, ses mots, toujours cueillis à leur juste maturité, à leur exacte acception, ses phrases si bien architecturées ont une bien autre valeur que les nôtres…

La richesse des mélodies d’une rondeur feutrée, la sobriété et la finesse des arrangements, l’écriture ciselée, l’intense interprétation, l’excellente diction dans une rythmique parfaitement liée et voluptueuse, soulignent le cheminement humaniste et de proximité que l’artiste semble vouloir, toujours, et depuis si longtemps, privilégier avec son auditoire.

Louis Capart manie une poésie sans hermétisme mais sans la moindre mièvrerie, cette niaise puérilité que l’on rencontre, trop souvent, sous la plume de poètes qui ne sont, en fait, que « pouet pouet » et qui ringardisent, voire tuent, cette si noble expression. Tout le monde ne sait pas mener le pinceau pour réaliser de si belles « toiles ».

Les amoureux de la chanson poétique, introspective comme altruiste, seront comblés.

Ces romances sont bien plus contemporaines qu’elles ne peuvent, a priori, paraître aux frivoles et inattentifs « picoreurs de couplets ».

Nous suggérons aux « anciens » acquis, définitivement, à l’oeuvre littéraire et musicale de Monsieur Capart, de parler de cet auteur de talent à leurs enfants ou petits-enfants qui s’extasient en plébiscitant les meilleures tournures qui honorent, parfois, les créations d’expression urbaine ou le slam et qui, par ce biais, au moins, s’intéressent, finalement, aux subtilités de la langue française. Il n’y a ni « buzzers », ni « has been », comme diraient les bradeurs de notre belle langue latine. Il y a ceux qui savent parfaitement « trousser le verbe » ou ceux qui se contentent, dans le contexte d’un artistique de réseau, exagérément « merchandisé », des platitudes formatées « tendance ».

« Le premier venu se ferait passer pour Molière

Quand notre argent brûle vos doigts

Nul besoin d’une arme et d’assiéger vos ministères

Le copinage suffira

Savez-vous, monsieur que tant de richesses

Sont une insulte aux pauvres gens ?

Si l’on privait vos amis du poids de vos largesses

Auraient-ils encore du talent ? »

(L’imposture).

Après avoir écouté les quelques extraits sonores que nous vous proposons, au bas de cet article, cet élégant et excellent album « De l’Aube au Crépuscule », aux parfums salés d’une maritime Bretagne qui, rappelons-le, renferme les 12 nouvelles chansons, la réédition intégrale de « l’Héritage Sénan » et la réédition partielle (8 titres) de l’album « Rives Gauches », est, absolument, à accueillir dans votre discothèque.

Souvenez-vous : on découvre en numérique, puis on acquiert l’objet-album, ce qui vous autorise, ensuite, à en extraire les mp3 qui vous accompagneront sur une côte sauvage d’Armorique, face au même soleil couchant ou levant qui irradie, en face interne, la jaquette, car, en ces lieux d’exception, il est vrai, on emporte, que très rarement… sa chaîne hi-fi !

Monsieur Capart, merci de nous avoir contactés, vous nous avez, de vos chants… enchanté !

Comme le soulignait le regretté Jean Carmet, il y a les vins de soif, et les vins de garde ! Vos « poétiques cépages » sont, sans nul doute, analogues à la seconde catégorie.

Gérard Simon

Notes

(1) « Pedenn an hini ne ket martolod », une traduction en breton de la « Prière du non-marin », initialement enregistrée en français sur disque vinyle, en 1986 (CD en 1990), dans l’album « Patience », lauréat du prix de l’Académie Charles Cros, version originale figurant, désormais, dans le double album « Premières chansons - l’intégrale » et reprise, sur ce présent double album « de l’Aube au Crépuscule » (réédition intégrale de l’« Héritage sénan », avec la Chorale Kornog de l’île de Sein, Louis chantant avec la voix et la harpe d’Anne Auffret.

Cette chanson est rééditée, dans le double album, en plage 10 du CD2.

(2) « … sa chanson « Marie-Jeanne-Gabrielle » a bâtit sa légende et passe, déjà, pour un traditionnel. Cet hommage rendu à sa mère, qui a quitté l’île de Sein, à vingt ans, est l’occasion d’évoquer ce caillou « battu par tous les vents, au raz de l’océan ». La mélodie ondule le long d’une phrase à rallonge et la voix vibrante, aux fins de phrases modulées, confèrent une puissance intense à l’évocation d’une île fragilisée par le réchauffement climatique ».

Arnaud Choutet « Bretagne : Folk, néo-trad et métissages » : (voir le site) notre rubrique « Livres à retenir ».

Cette chanson est rééditée, dans le double album, en plage 14 du CD2.

Pour commander le double album "De l'Aube au Crépucule", suivez ce lien : (voir le site)

CD1 "De l'Aube au Crépuscule" (57:13) :

01 - L’Aube (Louis Capart) - 04:06

02 - L’Oubli (Louis Capart) - 03:45

03 - L’Infini (Louis Capart) - 03:45

04 - Aux Quais du Vieux Lorient (Charles Carteron - Gilles Beuzet) - 02:33

05 - Le Crépuscule (Louis Capart) - 05:20

06 - Au large de ma naissance (Jacques Barthès) - 03:23

07 - L’Absence (Louis Capart) - 03:48

08 - Les Faux-Amis (Louis Capart) - 04:51

09 - Comme à Ostende (Jean-Roger Caussimon - Léo Ferré) - 03:07

10 - L’Usure (Louis Capart )- 03:49

11 - L’Imposture (Louis Capart) - 04:24

12 - Down by the Salley Gardens (William B. Yeats - Traditionnel) - 02:28

Réédition partielle de l'album "Rives Gauches" - (1ère partie)

13 - Il faudra que je me souvienne (Louis Capart Instrumental) - 01:01

14 - C’est la vie qui passe (Alain Aurenche - A. Aurenche - A. Breheret) - 03:30

15 - Loguivy-de-la-Mer (François Budet) - 03:23

16 - Je dors en Bretagne ce soir (Gilles Servat) - 03:49

CD2 Réédition intégrale de l'album "Héritage sénan" (54:26) :

01 - Héritage Sénan (Louis Capart) - 07:51

02 - Nos Vieux Amours (Louis Capart) - 03:53

03 - Au large du Gueveur (Louis Capart) - 04:55

04 - L’Amour en Carême (Louis Capart) - 03:37

05 - L’An Mil (Louis Capart) - 03:45

06 - Dérive (Louis Capart) - 04:28

07 - Merci Léo (Louis Capart) - 03:56

08 - Requiem pour une Naissance (Louis Capart) - 03:03

09 - Les Forteresses (Louis Capart) - 04:24

10 - Pedenn an hini ne ket martolod (Louis Capart) - 02:52

Réédition partielle de l'album "Rives Gauches" - (2ème partie)

11 - Ma Bretagne quand elle pleut (Jean-Michel Caradec - Ed. Madeline Songs) - 02:25

12 - Kérouze (Claude Besson - Editions Knuchel Monique) - 02:33

13 - De la main gauche (Danielle Messia - D. Messia - J. Fredenucci) - 02:58

14 - Marie-Jeanne-Gabrielle - 03:46

CD "de l'Aube au Crépuscule" - Louis Capart.

- Parution : septembre 2016

- Réf : 4016128

- Production Louis Capart

- Distribution : Coop Breizh : (voir le site)

Illustration sonore de la page : Extrait de "L'Aube", de l'album "de l'Aube au Crépuscule", par Louis Capart.

Site Internet officiel de Louis Capart : (voir le site)

Nous vous propososn d'écouter 4 autres extraits sonores sur Culture et celtie, l'e-MAGazine : (voir le site)

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