Cette orientation fut rejetée à la fois par les élus de Lannion et ceux de Guingamp et deux pays virent donc le jour, forcément moins armés pour affronter la concurrence, bien réelle, entre les territoires.
Les arguments – SMITRED, problématique de l'eau, cartes scolaire et hospitalière, sans parler des économies d'échelle et de structures… - que reprend aujourd'hui à son compte Thierry Burlot avaient déjà été développés à l'époque. En vain. L'UDB y ajoutait ce plus que constitue un territoire à identité commune forte. L'UDB, on le sait, prône le renforcement de la Région et des pays, comme alternative au département technocratique et sans âme. Elle exprime aujourd'hui sa satisfaction de voir les esprits évoluer dans le bon sens. Avec le président du Pays de Guingamp, elle affirme de nouveau : oui au G P L, c'est le carburant dont nos territoires ont besoin pour mieux se développer ! Et si cette fois, la raison l'emportait ?… Affaire à suivre.
Fédération UDB du Trégor Goëlo
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