Put your name here

Peut etre qu'il est fatigue .Qu'il baisse les bras ???? C'est un bruit . Y a t'il une confirmation ??

Dans un commentaire précédent j'avais suggéré une table de travail fixant les objectifs. Un de ceux-ci aurait pu être par exemple de garder le conseil général de L.A favorable à la réunification. Voila l'objectif, comment? Qui ? aux personnes autour de cette table de le définir. Date butoir les élections. Au lieu de ça je vois déjà ce qui va ce passer: tout comme à l'élection de Patrick Mareschal il y en a bien un qui va nous sortir un communiqué déplorant le retrait ou se félicitant de la présence du Gwenn Ha Du devant le conseil général.

"...une mauvaise nouvelle pour la réunification ..." ; La seule mauvaise nouvelle c'est que rien ne se soit passé depuis LeDrian/Mareschal.... ce n'est même pas une nouvelle ... c'est une évidence ....Aucun regret...B.G

je ne suis pas d'accord avec M. Guyader, Mareschal a fait des choses que je n'avais jamais vu avant au CG 44 (et qu'on ne reverra sans doute jamais plus, il ne faut pas se faire d'illusions !)
- drapeau breton devant le CG44 - expos bretonnes au CG44 (marches de bretagne , etc...) - infos bretonnes dans le magazine du CG44 (avant le terme Bretagne était banni-un tabou) - liens avec les politiques de B4
ne vous faites pas d'illusions le CG44 va désormais se dissoudre entièrement dans la philosophie PAYSDELOIRIENNE.
Mareschal était le grain de sel breton, alors arretons de dire qu'il etait comme ses predecesseurs , c'est FAUX ! (predecesseur : André Trillard qui a dit dans le passé, "nous on est pas de culture finisterienne" donc en filigrane cela signifiait arretez de nous embeter avec la Bretagne)
et ce n'est pas une question de positionnement politique car Patrick Mareschal est isolé sur ce point au PS44. Une des pontes du PS44 était Mme Verchère, non bretonne, qui osait dire clairement en parlant de Vertou je crois, "ici c'est pas la Bretagne".

Herve Leray .Pourquoi cela progresse t-il si lentement ??? Etes vous parent avec Michel LERAY qui a un Bureau Commercial a Taipei / Taiwan ??

Non du tout M.Camaret.

Pourquoi cela progresse lentement ? il y a 2 explications et celles ci font que ça ne progressera pas mais ça regressera !
1 les non bretons en Loire-Atlantique sont sans doute majoritaires aujourd'hui (Parisiens, Paydeloiriens et autres )
2 la propagande officielle finit par rentrer dans les têtes , cette propagande est protéiforme, le 1er vecteur en est Ouest-France et le 2eme l'officialité administrative ("notre académie scolaire", "notre ligue de sport", etc...)

A mon humble avis, pourquoi la réunification ne progresse pas ou très peu et pourquoi plus généralement la prise de conscience bretonne reste au point mort en Bretagne ? Parce que les bretons quels qui soient se sentent français (on leur a toujours dit) et que surtout l'état français a décérébré ses propres citoyens en les habituant à tout attendre de l'état français sans jamais se poser la réelle question si eux même ne pouvaient déjà pas améliorer les choses. Que peut faire le mouvement breton face à de gens qui se croient heureux d'être mis sous perfusion et qui leur proposerait au contraire de changer leurs habitudes d'assistés. Peu de chose si ce n'est de créer une prise de conscience progressive qui mettra hélas du temps à s'imposer. Résultat on ne risque pas de retrouver une Bretagne digne de ce nom pas avant plusieurs dizaines d'années à moins peut être d'un événement heureux, mais cela reste de la prospective...

Il y a aussi un sentiment de peur .Je l'avais vu lorsque j'habitais en Bretagne , on a peur de s'exprimer , de critiquer le systeme en place ( en Allemagne NAZI c'etait pareil). Mais si le Monsieur (sic) que j'etais pour eux , exprimait des attitudes tres bretonnes, alors les consciences s'ouvraient et les gens commencaient a parler .Combien de fois ai je entendu , mais on nous a jamais parle comme cela?? Certains elus bretons etaient tres heureux de me voir partir.J'etais "the trouble'maker".

En appui à ce que dit M. Camaret, je me dis que, pendant plusieurs dizaines d'années (disons deux générations), la Bretagne a vécu dans une situation ambidextre.
A main gauche, la langue bretonne, verbale et non officielle, pour exprimer la réalité de la vraie vie, les hommes et femmes en chair et en os.
A main droite, la langue française, écrite et administrative, pour véhiculer ce qui vient d'en haut ou d'ailleurs.
Ceci se voyait, par exemple, dans les noms des personnes. Untel est Jean-Marie pour l'Etat-Civil, mais, en vrai et pour tous, c'est Jañ-Maï (exemple en Kreiz-Breizh). Cela, bien des personnes – et parfois de qualité - extérieures au pays ne l'ont jamais compris.
L'objectif maintenant, pour la Bretagne, est de devenir officiellement, et fièrement, ambidextre : langue bretonne et langue française. L'avenir réglera le placement du curseur dans le rapport de l'une à l'autre.
Evit ar vrezhonegerien : ma tigarezit, mes a-wezhioù a-walc'h e ran fazioù (fazioù eeün memes : kemmadurioù hag all) dre implij an urzhiater, mes ivez rak ne glevan ket a vrezhoneg en-dro din war ar bemdez.Ne vern, gwelloc'h eo din skrivañ memestra.