Les cinq candidats à la primaire écologiste, Delphine Batho, Jean-Marc Governatori, Yannick Jadot, Eric Piolle et Sandrine Rousseau se sont engagés en faveur d’un référendum.
Dans le cadre de l’élection présidentielle, l’association « A la bretonne ! » va solliciter l’ensemble des candidats.
La première étape a eu lieu ce mardi 14 septembre. Les cinq candidats à la primaire écologiste, Delphine Batho, Jean-Marc Governatori, Yannick Jadot, Eric Piolle et Sandrine Rousseau se sont engagés en faveur d’un référendum.
En 2018, 105 000 électeurs de Loire-Atlantique ont signé une pétition pour voter sur la réunification de la Bretagne. Selon un sondage Ifop de mai 2021, 80% des habitants du département sont favorables à un tel vote. Dans une période où notre démocratie est en panne, cette mobilisation citoyenne d’une ampleur inédite en France doit trouver un débouché. L’enjeu est civique et démocratique !
Selon Christophe Prugne, président d’A la bretonne !, « la première étape est franchie : nous avons obtenu un engagement clair de tous les candidats à la primaire écologiste. Notre association se projette déjà dans l’étape suivante. Aujourd’hui, nous avons écrit à Anne Hidalgo pour lui demander de se positionner à son tour sur cette demande citoyenne d’un référendum en Loire-Atlantique. Nous espérons qu’elle suivra la position de sa directrice de campagne, Johanna Rolland, qui a fait voter un vœu en faveur de ce référendum en février dernier. »
Commentaires (23)
En revanche, une consultation est possible et la pétition demande toujours au CD 44 de l'organiser.
Réunification sans "référendum " impossible à organiser et qui ne sera pas respecter comme ceux de 1969,2005 ainsi que la consultation de NDDL.
Pas de perte de temps et d'argent!
Que toutes les structures politiques syndicales etc de Loire Atlantique se structurent sur l'ensemble de la Bretagne historique?C'est possible immédiatement.
Aux actes
Contre le "grand ouest" que certains préparent...
1. La raison d'Etat. Paris a une peur bleue de la Bretagne. Le peuple breton, qui ignore tout de son Histoire, de sa géographie, de ses langues, me semble le peuple le plus acculturé de la Terre, mais il y a tout de même un curieux "effet péninsule" qui se prolonge jusqu'à Clisson.
2. La folie des grandeurs propre aux élites nantaises. Le CD 44 refuse la consultation car, si le oui l'emportait, la région administrative recouvrerait vraisemblablement son intégrité historique et c'en serait fini du grand ouest. Et si le non l'emportait, la fracture administrative en sortirait renforcée, ce qui ne ferait pas non plus l'affaire des tenants de la fusion des deux régions.
La Loire-Atlantique, c'est la Bretagne, il ne peut en être autrement. Ce n'est pas l'Anjou, ni le Poitou. Aussi, même si la consultation venait à être perdue, en aucun cas "le sujet serait clos", n'en déplaise à Monsieur Le Teuff. L'avenir est caché : les consultations alsaciennes avaient été un échec, l'Alsace avait ensuite été engloutie dans un grand machin, puis l'espoir est revenu !
Nous n'avons pas à voter pour nos droits confisqués.
Amis militants posez la bonne question march plij
Un référendum commandité par Johanna Rolland et A la bretonne. Ça sent le coup fourré à plein nez, pour qu'on soit amené, après modif de la loi permettant de le réaliser, à choisir entre la peste ou le choléra (fusion ou statu quo). Et là, c'en est définitivement perdu d'une possible réunification de la Bretagne.
Rejetons, par pitié. Et l'idée, et les commanditaires.
https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/video-pour-julie-laernoes-adjointe-eelv-a-nantes-yannick-jadot-un-choix-de-coeur-846993be-1710-11ec-be91-32ae82f2e246
Première partie à partir de 3 min 33 Julie Laernoes ELLV 2ème adjointe à la ville de Nantes explique :
" Yannick Jadot est venu en tant que député du grand-ouest"
Tout est dit. Les Verts de Nantes, d'Anjou, de Sarthe sont donc en phase pour reconnaître une entité Grand Ouest.
Quelqu'un disait: " Ta bouche peut mentir , mais sa grimace dit cependant la vérité! "
Les théories sociales, sociétales, leurs parcours, leurs prétentions aux écologistes politiciens, nous commanderaient de voter pour le moins nocifs, pour ceux qui voudraient y participer, et c'est là sans aucun doute que l'on découvre, que se trouve notre dilemme! Pour survivre.
Bien sûr ceux-là qui se disent "écologistes" ne sont pas les seuls, mais je dois dire, qu'ils sont ceux qui m'inquiètent le plus!
Comme nous sommes plus qu'habitués aux "engagements" qui sont dans les faits de ne jamais s'engager, sauf auprès des simples d'esprit qui en acceptent la rêverie, vous pouvez donc vous faire une idée des interrogations que je me pose sur ceux qui veulent contre vents et marées de ces engagements évanescents.
Et puis vouloir à tous prix un référendum pour la BRETAGNE, alors qu'un petit décret parisien du démembrement breton en est la cause, c'est tout bonnement vouloir organiser de multiples façons que ce soit le NON qui l'emporte. La démographie dans l’est de la BRETAGNE devrait bien retenir l’attention des Bretons, et des politiques qui sont perpétrées, par des Rolland et Appéré… Je pense que la capitale et conseil régional doivent être établis sans trop tarder en Cornouailles (KERNEV) ! Pour qu'en BRETAGNE le mot capitale ait encore un sens!
Alors d'accord avec beaucoup d'autres ici, je dis et maintiens que ce qu'un décret a commis, un autre petit décret doit décommettre!
Un NON à un référendum imposé ne sera jamais par moi reconnu, il n'aurait rien de l'esprit démocratique qu'ILS voudraient ensuite, toujours, faire valoir « contre » toutes manifestations politiques ou culturelles!
Pour conclure je dois dire que l'état de Nantes et de Rennes (pour ne citer que ces villes) de l'est BRETAGNE, me pose beaucoup d'autres questions! Notamment sur le rôle de capitales bretonnes de Rennes et de Nantes!
Mais les Corses ont bien voté, eux, en 2003. Et cette consultation a même repoussé le projet de création d'une nouvelle collectivité territoriale qui serait née de la fusion de la région et des deux départements. Pourtant, cela n'a en rien compromis son avènement 15 ans plus tard, avec un statut particulier. J'imagine d'ailleurs que certains ont cru bon de dire en 2003 que le débat était clos...
Quelqu'un pourrait peut-être donné une information là-dessus?
https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/video-pour-julie-laernoes-adjointe-eelv-a-nantes-yannick-jadot-un-choix-de-coeur-846993be-1710-11ec-be91-32ae82f2e246
A ce décret abusif, imposé à la hussarde, doit simplement répondre un nouveau décret annulant le premier.
Tous les référendums, les consultations, les votes que l’on voudra ne ferons que retarder la solution en noyant le poisson tout en permettant à des formations insincères de faire traîner les chose en ménageant la chèvre et le chou.
Ce n’est plus possible. Vous êtes pour la Réunif : militez pour un nouveau décret abolissant celui de 1956 en rétablissant la Bretagne dans ses droits historiques millénaires au lieu de la laisser végéter dans les limites - une fois de plus imposées - du «réduit breton» de la 2me guerre mondiale.
La fusion avait été surtout refusé car la création de cette collectivité avait de forte chances de se faire au détriment de bastia pour ajaccio. Tout comme une réunification bretonne pourrait avoir des conséquences néfastes pour rennes si nantes prend le dessus. Exemple simple: actuellement la gestion des données des collectivités bretonnes est à rennes si il y a changement de capitale, cela peut impliquer un changement d'entreprises (42millions/an).
Les capitalismes ayant un problème avec le principe de non centralisation.
@Lesur
Merci pour le lien, une découvert étrange du néologisme -écofeminisme- et le fait que le vélo électrique c'est écologique^^.
Il suffirait d'un décret, certes, mais, nous le constatons tous les jours, les décideurs formatés au centralisme parisien jouent la montre depuis 40 ans ! Que faut-il donc pour éviter ce statu-quo qui nous est préjudiciable ?
Il reste la voix populaire ( ric, rip) pour les habitants du 44 dont je suis. La consultation nddl , qui a eu un franc succès auprès de la population nantaise, a coûté 100 000 € . Je fais partie des 105 000 signataires de la pétition initiée par Bretagne Réunie qui aurait dû demander 1 ou 2 € à chaque pétitionnaire. C'est une leçon pour l'avenir pour éviter d'être tributaire de tous ces notables qui pensent d'abord à eux et à entretenir leurs chapelles. Et les Pdl courent toujours après une idendité...
De ma campagne nantaise, je pense que l' organisation d'un vote 44 semble être aujourd'hui la moins mauvaise des solutions pour retrouver la B5. Heureux suisses avec leurs votations.
En avant donc avec Anne Hidalgo.
Cela ressemble à s'y méprendre au secrétariat aux affaires indiennes etats-unien ou un commissariat aux questions juive français avec Pétain.
Le plus incompréhensible c'est la participation de bretons à cette mascarade !
La Région Bretagne est peu endettée, ce sont des terres attractives contrairement au Centre-Val-de-Loire ou Poitou-Charentes.
Les Pays-de-la-Loire se font petits depuis 2014.
l'État français, peu importe ça forme et ses dirigeants, ne comprend que le rapport de force.
Hors sur ce dossier, une fois de plus, nous n'en avons aucun ! Demander l'aumône, à de potentiels candidats de partis politiques français, à une élection française, n'est pas un projet politique pour la Bretagne !
Aux dernières élections régionales, le seul parti politique breton n'est pas parvenu à faire un score honorable. Donc on est très loin du poids des natios en Corse ! On a le droit de rêver mais à un moment il faut mettre ses divisions de côté et proposer un projet d'avenir pour notre pays. Surtout quand l'on voit les dérives nationalistes et revanchardes chez nos voisins français ! (Avec l'appui de certains politiques bretons supplétifs des partis français...)
Référendum ? Nann trugarez !ce que décret à fait, décret doit défaire !
Par ailleurs, il ne faut surtout pas accepter, une seule tentative, par des malveillants et malhonnêtes, d’établir une profonde confusion entre « RÉFÉRENDUM » et une « consultation » dans l’esprit des Bretons, comme dans celui des Français d’ailleurs ! Il ne faut aucune tolérance envers ces « vicieusetés » et escroqueries politiciennes.
Sur Wikipédia j’ai lu concernant la Corse «.., un référendum non contraignant… », l’on se moque décidément du sens et signification des mots.
C’est la « consultation » qui n’est pas contraignante, qui n’est qu’avis demandé à une population, à une communauté sur une question ou une autre. Par contre le résultat d’un « RÉFÉRENDUM » est la question apportant décision qui tranche ou apporte la réponse au problème (par un peuple souverain) en principe!
Et justement c’est ce à pourquoi je me suis toujours opposé à un « RÉFÉRENDUM » sur "notre" ré-unification. Après au moins sept à huit décennies de propagande des PdlL, de léthargie complice des élus bretons ( ?), et de modification démographique, ainsi que la négation de l’Histoire plus que millénaire elle, de la BRETAGNE, il n’y a pour moi aussi, qu’un décret qui doit annuler le décret scélérat de la séparation.
Toutes les propositions politiques diverses, d’aménagements ou autres pouvant concerner la BRETAGNE, exigent que le préalable de ré-unification soit d'abord réalisé ! Non reconnaissance d’un résultat quelconque d’un pseudo référendum-consultation, qu’un coup je vois, et que de l’autre je ne vois plus ?
Laisser planer l’imprécision entre les deux termes, voire la cultiver et « amalgamer » les deux en utilisant indifféremment l’un et l’autre terme dans une même discussion n’est pas, pour le moins, une preuve de sérieux ! Comme pour la « consultation » sur Notre Dame des Landes !
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9f%C3%A9rendum_de_2003_en_Corse
Pour l’Alsace une petite réflexion. Des Alsaciens qui ont aussi refusé une possible « réunification » des deux départements Haut et Bas Rhin…
" Un sondage Ifop réalisé en février 2018 révèle que 82 % des personnes interrogées seraient favorables à l'organisation d'un nouveau référendum sur la fusion des deux départements, et 67 % favorables à la sortie de la région Grand Est29. Plusieurs personnalités politiques alsaciennes ont milité pour un retour à l'existence administrative de l'Alsace. "
Trop tard ! Ou pas ?
Qu'entendez-vous par "les PDL se font petits depuis 2014" ? Le flux de nouveaux arrivants est supérieur à celui de la Région administrative Bretagne. Il faut dire qu'ils se démènent pour être "attractifs".