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Bretagnez-vous
Bretagnez-vous
- Communiqué de presse -
Bretagnez-Vous est né. Et vous allez en entendre parler
Il est né, le buzzword qui va faire parler de lui : Bretagnez-Vous ! Rejoignez-nous pour conjuguer nos efforts, dès maintenant, pour construire tous ensemble une autre société bretonne, plus dynamique,
Yves BRUN Par Bretagnez-Vous ! le 15/02/17 22:56

Il est né, le buzzword qui va faire parler de lui : Bretagnez-Vous !

Rejoignez-nous pour conjuguer nos efforts, dès maintenant, pour construire tous ensemble une autre société bretonne, plus dynamique, plus solidaire, plus créatrice et encore plus prospère.

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Yves BRUN, 59 ans, je suis expert comptable dans un des plus importants cabinets de Bretagne et enseignant en gestion, droit fiscal et comptabilité. J'ai coécrit Le Nouveau Défi Armoricain (StatBreiz 2015) pour la partie relative aux comptes publics de la Bretagne. Je porte l'idée qu'un autre modèle est possible pour la Bretagne, plus décentralisé comme dans bien d'autres pays d'Europe. Je soutiens également que l'entreprise n'est pas un objet financier mais bien une véritable unité sociale et culturelle. Nous devons repenser un écosystème plus favorable aux TPE qui sont une authentique richesse de notre territoire. Il faut prendre soin de nos entreprises, comme il faut prendre soin de la personne et de notre environnement. Pour cela, il est impératif de décentraliser les décisions
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Vos 13 commentaires :
Paul Chérel Le Jeudi 16 février 2017 10:20
Bonne initiative ! Pour ma part , j'aimerais de loin inverser l"ordre des facteurs" : une Bretagne plus prospère, plus créatrice,plus dynamique, le "plus solidaire" qui ne veut pas dire grand-chose, arrivant comme résultat des trois autres. Pour faire une nouvelle Bretagne, il faut se démarquer du langage français. Quant aux réseaux sociaux, il me semble qu'ils commencent à avoir un peu de "plomb dans l'aile". Paul Chérel
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Jacques Le Jeudi 16 février 2017 11:58
Félicitation pour votre site, il est très bien construit, très communiquant, belles couleurs, agréable.
Enfin, on commence à avoir une démarche professionnelle en Bretagne sur le plan politique!
(Juste pour info : en page accueil, il semble avoir un "bug" sur votre lien "découvrez notre projet", la page est vide).
Sur votre site il est possible de lire : "Mon pays avant mon parti"
Belle avancée, car cette vision est pas la vision historique de l'UDB (avec qui vous êtes associé) qui a toujours fait le choix de l'idéologie au détriment du pays. On pourrait faire la même remarque à C.Troadec qui a un passé "pro-PS" très affirmé... Donc, il y a une évolution ou du moins une volonté d'évolution...!
On peut lire que vous êtes "régionaliste".
Vous donnez d'ailleurs une définition et vous la comparez aux autres notions : l'autonomie, le fédéralisme et le nationalisme.
Cette précision est une très bonne démarche.
Néanmoins, je reste perplexe.
Déjà, votre définition du "régionaliste" est un peu trop ténu pour être compréhensible (concrètement, c'est quoi votre idée?)
Quand à votre définition du "nationalisme", il semble que votre emploi des termes "séparatisme" et "indépendantisme" semblent avoir pour vous une connotation négative (on notera que ces formulations sont souvent utilisées par les médias s'opposant aux référendums écossais et criméen, et à la démarche de référendum de la Catalogne).
Or, la Charte des Nation-Unies (Chapitre I, alinéa 2) affirme clairement ce droit comme un principe premier.
Seule la guerre et la violation de la démocratie bretonne ont amenée à la situation actuelle, ce qui fait que votre "régionalisme" appliqué au cas breton nécessité en préalable une forme adhésion à ce type de méthodes... (besoin de compréhension...???)
Loin de penser que vous avez un problème structurel avec les Droits de l'Homme et en particulier avec ce droit fondamental pour lequel vous voyez 4 niveaux d'application, il convient de constater (comme vous l'affirmer d'ailleurs) que vous vous situez au niveau 1 et cela malgré que la légitimité bretonne est reconnue pour être au niveau 4 (la Bretagne étant toujours d'un point de vu du droit international un pays indépendant et le peuple breton n'ayant jamais exprimé sa volonté pour autre chose, et bien qu'illégale et suite à 1532 la Bretagne était jusqu'à la Révolution encore au niveau 3, un état des faits qu'on ne peut occulter).
Donc, on notera votre démarche volontairement positive qui tranche avec le passé récent mais que le chemin reste encore long pour faire de vous un SNP Breton avec le peuple et la légitimité démocratique au centre de vos préoccupations!
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Paul Chérel Le Vendredi 17 février 2017 10:46
Bonnes demandes de précisions de l'ami Jacques. Encore un parti, mouvement, association de Plus ? Monsieur, Dessine-moi la Bretagne, demandait le Petit Prince. Une France à l'échelle O,1 ? ou O, O5 ? Paul Chérel
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richard JUHEL Le Vendredi 17 février 2017 11:32
Qu'est ce qu'une région ou un régionalisme ?
La Région est uniquement, du droit administratif français : une division administrative de la France dont le Préfet de Région est le gouverneur avec ses Préfets départementaux et maritimes. Un échelon entre l'état et les départements quelle contient. La région n'a aucune autonomie propre, elle est totalement soumise aux directives des préfets et de l'État français.
En droit international la région n'a aucun statut, elle n'existe pas du point de vue du droit.
La région industrielle ? la Région du corps humain ? la Région de Versailles ou un quartier de Rome du temps des Romains ? les hautes régions de la philosophie ? La région SNCF ? en mathématique la région est l'espace formée de plusieurs courbes dont l'intérieur est connexe ! la région de l'espace interstellaire ...etc : la région est une notion vague et mal définie, c'est pour cela qu'elle ne représente rien du point de vue du droit.
Seule la nation quelque soit sa taille, du point de vue du droit public, est reconnue même s'il elle ne constitue pas un État et les populations qui font partie de la nation ont des droits, on appelle cela le "jus gentium" (droit des nations) depuis plus de 2000 ans.
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Paul Chérel Le Vendredi 17 février 2017 13:46
J'aime bien la sémantique de Jacques. il est temps d'appeler un chat, un chat. Régionalisme, c'est synonyme de colonialisme. Il ne faut retenir, pour que la Bretagne vive ou revive, que les mots autonomie ou indépendance. En gros, cela doit revenir à savoir QUI détient, pouvoir, argent et décision. Il faut, par exemple lire dans le dernier bulletin du CR B4 (17 février) au sujet de l'investissement dans le domaine de l'eau « puisque ces projets doivent répondre aux enjeux et objectifs identifiés dans les Sage.» La Bretagne n'a rien à faire de la façon dont la France règle (plutôt mal) ces et ses problèmes. Paul Chérel
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Didier Lebars Le Samedi 18 février 2017 14:18
Au Royaume Uni, il y a 4 nations.
Vous être comptable et très qualifié, quel est votre objectif pour le %PIB géré par la "région" Bretagne ?
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Paul Chérel Le Dimanche 19 février 2017 10:59
Petite remarque sur le commentaire de Didier. On ne GERE pas un PIB, on le produit. On ne peut gérer que son résultat, son bilan financier et, a condition, que le producteur en reste maître. La toute petite ristourne que l'Etat reverse, après avoir empoché toutes les ressources, à SES collectivités, grandes ou petites, ne leur permet que couvrir, plus ou moins bien, leurs dépenses de FONCTIONNEMENT. Sur le plan INVESTISSEMENTS, ces collectivités n'ont qu'un tout petit droit, au demeurant ridicule, celui de se doter et construire un beau siège social avec salles de réunions, de discours et équipements logistiques. Par contre l'Etat se donne le droit de demander, d'exiger, honteusement et hypocritement, des participations financières des collectivités aux dépenses de fonctionnement et d'infrastructures qu'il engage, parfois dans le plus grand désordre, et pas souvent dans l'intérêt propre des collectivités. Paul Chérel
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Riwal Le Dimanche 19 février 2017 18:27
C'est vraiment l'alliance de la carpe et du lapin votre histoire.
Un mouvement d'extrème gauche comme l'UDB qui chante l'Internationale à la fin de ses congrès allié avec un expert-comptable qui défend l'économie de marché.... On a pas fini de rigoler avec Oui la Bretagne
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Yves BRUN Le Dimanche 19 février 2017 23:38
Bonsoir chers lecteurs,
D’abord je vous remercie de vos commentaires, ils sont toujours très enrichissants. Je suis sensible à vos compliments car il y a derrière le travail d’une équipe.
Le bug a été corrigé vendredi – merci Jacques pour votre intervention.
La définition que je fais du régionalisme est extraite de l’ouvrage de Michel Nicolas (histoire de la revendication bretonne 2007 – page 33). Je ne cherche pas à donner une définition précise. Je veux faire un peu de pédagogie.
Mon constat est que depuis plus de 50 ans de revendication les choses d’avancent pas. Les bretons ne connaissent pas vraiment leur histoire et peu d’entre eux imagent un autre fonctionnement institutionnel. En plus, demeurent des mots chargés négativement comme le simple mot d’ « autonomiste » qui devrait évoquer « responsable », et ne parlons surtout pas du mot « d’indépendantiste »…
Mon interrogation permanente aujourd’hui est « que faire, que faisons nous de concret aujourd’hui pour la Bretagne » au lieu de bavarder ? Question terrible quand intimement, on se la pose car le lendemain il faut agir. Et comment ? Humblement, je pense qu’il faut d’abord faire de la pédagogie, démonter à nos concitoyens qu’une autre organisation, plus autonome, donc plus responsable et plus démocratique peut exister. Nous sommes entourés de ce type d’organisation (Espagne, Allemagne, Grande Bretagne…etc).
Il est vrai que le Finistère a payé durement ses revendications dans le passé. Mais s’en souvient-on ? les élus du Finistère ont lourdement payés leur adhésion à la revendication fédéraliste girondine en 1793. Un tribunal révolutionnaire a été mis en place « pour juger tous les citoyens accusés de délits contre la liberté du peuple, la sureté du gouvernement républicain, l’unité et l’indivisibilité de la république…en un mot de tout crime contre l’intérêt national ». Le tribunal formé principalement de magistrats parisiens prononça l’exécution de 26 administrateurs départementaux guillotinés place du Château à Brest.
Quelque soit les mots utilisés, la grande question est aujourd’hui la question du pouvoir de décision sur son territoire, de son périmêtre, de ses compétences et de la qualité de ce pouvoir. A ce jour, pour moi, il n’y a pas d’autre sujet car le reste est illusoire tant qu’on a pas réglé cette question. Et pour régler cette question,il faut converger.
Nous avons donc besoin tous de conjurer notre malediction, celle de la division. Nous avons à créer un nouveau « Celib » mais sur la base du contexte actuel.
Pour répondre à Paul, Bretagnez-vous n’est ni un parti ni une association, il peut être un mouvement s’il vous le voulez demain. Il s’agit derrière ce mot de porter une espérance qui s’obligera à générer des actions concrètes ( exemple : un organisme de financement pour les TPE délaisssé par les banque, un fonds d’investissement pour la reprise des PME bretonnes etc…). Mais tous les domaines sont à investir. Le mot d’ordre est « faire plutôt que de bavarder ». il n’y a que ça qui a de la valeur.
Pour répondre à Didier le Bars : le PIB breton est estimé à 84 Md€ en B4 et 118 Md€ en B5. Un travail a été réalisé pour démontrer qu’un budget Breton en format B4 et B5 est possible en autonomie sur le modèle de la communauté autonome Basque est Espagne. La reconstitution que nous avons réalisée montre l’équilibre des comptes ( balance des recettes fiscales et sociales avec les dépenses respectives y compris une quote part des frais de l’Etat) en l’état actuel en dehors de la gestion des retraites ( voir notre ouvrage collectif « le Nouveau défi armoricain » 2015 - chapitre 4 et chapitre 12).
Nous voulions nous rassurer nous-mêmes de cette situation. Nous pensons de surcroit que l’expérimentation de la responsabilisation des finances publiques ( en Bretagne pour commencer !) est la solution pour sortir la France de l’ornière.
Nous sommes convaincus que la Bretagne est ce territoire à la bonne taille où peut se déployer une véritable vision d’avenir, tout en restant fidèle à nos valeurs et nos traditions. Il s’agit d’actualiser notre capital culturel, d’être responsable et surtout d’aimer son pays. Sa richesse ( qui permettra la solidarité) naitra de son dynamisme dans tous les domaines ( pas seulement économique, mais aussi culturel). J’aurais encore beaucoup de chose à vous dire mais en attendant, rendez nous visite sur notre site « bretagnez-vous.bzh » - Merci encore de votre attention et à bientôt.
Yves BRUN
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Yves BRUN Le Dimanche 19 février 2017 23:56
Réponse à Riwal
J’aime bien votre image de l’alliance de la carpe et du lapin car justement cette alliance symbolise la reliance vers un objectif commun. La carpe et le lapin veulent sauver leur territoire. Ils en ont besoin tous les deux. Pourquoi des personnes qui ont des opinions différentes ne pourraient pas travailler ensemble même si cela n’a pas été fait dans le passé ?. Il ne s’agit pas aujourd’hui de définir une politique économique bretonne, elle est dictée par Paris en ce moment. Il s’agit d’obtenir du pouvoir et des moyens. Rappelez-vous le Celib. Quand nous aurons un parlement chacun prendra la route qu’il veut. S’il vous plait, changeons de logiciel pour ne pas répéter les erreurs du passé, arrêtons de mettre les personnes dans des cases…et de les coincer dans des idéologies. Merci d’avance et je suis content de vous faire rigoler avec Oui la Bretagne, car on en a tous besoin en ce moment…
Yves BRUN
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Nozvezh an Alarc'h Le Lundi 20 février 2017 13:38
Bravo pour la nouvelle initiative! Une question cependant qui ne cesse de me tourmenter: pourquoi, à chaque fois qu'une organisation parle de Bretagne, de tels mots comme "territoire" ou "région" apparaissent. Sortons du "républiquement correct" et appelons toujours, partout où possible, la Bretagne par le nom qu'elle a eu depuis des siècles: un pays!
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Jacques Le Lundi 20 février 2017 16:54
@ Yves le Brun,
Déjà merci pour votre réponse.
Je note que vous n'avez pas fait apparaître mon dernier post (volontaire ou bug information...).
Si votre modèle c'est le pays basque sud, il faut bien comprendre que le terme "régionaliste" porte à confusion tant il est sous dimensionné.
Le Pays Basque (votre modèle) dispose d'un budget par habitant 16 fois supérieur à la Bretagne : L’hôpital, la police, l'économie, l'agriculture, l'école, l’université, etc... sont entièrement gérés en propre. En clair, à part le roi, le gouvernement central et l'Armée espagnol, tout le reste est de l'unique responsabilité démocratique des Basques.
Les mots "autonomie" et "indépendance" ne sont chargé "nativement" que de la propagande Républicaine et surtout de la trahison de l'UDB qui sous couvert de "régionalisme" travaillait pour le Parti Socialiste français dans une démarche en totale opposition avec tous les autres dynamiques comparables en Europe.
C'est tellement vrai, que le 1er parti politique et le 1er syndicat salarié de Corse sont ouvertement "nationaliste"... Pourtant la Corse est également en République!
Autre point qui porte à questionnement, vous évoquez : "...est la solution pour sortir la France de l’ornière!"
Il faudrait donc comprendre que : "les Bretons (4,6millions hab) incapables aujourd'hui de s'entendre entre eux pour redonner une vie démocratique à la Bretagne, se donnent pour objectif de sauver le pays voisin (60millions hab)...!"
Cela ressemble à l'ancienne croyance de nos agriculteurs bretons qui voulaient "nourrir le monde...!"
Pour évoquer l'histoire : La mise sous tutelle des territoires hexagonaux (modèle colonial) n'existe que pour rendre impossible le retour à la Liberté des territoires non français. En contraignant ces pays, la France se contraint elle-même d'où la situation économique acceptée par l’oligarchie tant que Paris reste bénéficiaire.
Si vous voulez sauver la France, ce n'est pas en lui proposant un autre modèle, mais en lui imposant une force démocratique l'obligeant à lâcher prise! En clair, et toujours si vous voulez sauver la France, l'unique solution est le retour de la Bretagne à la Liberté! La Bretagne redevenant indépendante (ne serait-ce que la présence majoritaire d'un parti nationaliste breton en Bretagne), la France n'a plus de raison de maintenir son système!
C'est en parti pour cette raison que F.Holland a réalisé la réforme territoriale, pour rendre impossible toute organisation démocratique avant l'évolution européenne vers une organisation régionale.
Il a réussi pour l'Alsace, il est en échec pour la Corse et bien entendu pour la Bretagne qui reste en statut-quo (perdant-perdant).
D'où : Plus les Bretons pensent Bretagne et oublient la France, mieux c'est pour la France et pour la Bretagne!
Aujourd'hui, il a 2 listes Bretonnes :
Bretagnez vous : (UDB / MBP)
100% Breizh (Parti Breton, BE, AFB) associé au Mouvement 100% avec l'Alliance écologiste indépendant (écologiste centriste).
Entre ces 2 listes, aucun dialogue...!
Comment être crédible dans l'ambition d'être pédagogique envers les citoyens?
Trop facile de reporter la faute sur les citoyens...
D'autant que les citoyens bretons de leur coté se disent souvent "orphelins de liste politique bretonne sérieuse" et se disent voter pour le FN faute de mieux pour exprimer leur raz le bol (sentiment en forte croissance).
L'exemple le plus brulant illustrant le propos est celui des jeunes, des agriculteurs, des ouvriers... (votre électorat traditionnel) qui se tournent majoritairement vers le FN...
Rappelons nous que le "STC" (syndicat des Travailleurs Corses, ouvertement nationaliste) majoritaire devant la CGT a été créé à une époque ou la Gauche Bretonne se vautrait en vassalités aux pieds de Mitterrand.
Les Bretons qui veulent sauver la France se voient proposer un syndicat par les Corses...!
Que doit-on en penser???
Il ne faut pas voir dans mes propos une opposition à votre initiative, mais bien un message que les Bretons sont lassés par l'attitude des militants politiques bretons qui depuis 60 ans se soucient plus de théories idéologiques que de démocratie!
Ceux-ci dit, très sincèrement bonne chance à votre projet!
D'une manière ou d'une autre, il faut que la Démocratie avance en Bretagne!
Avant que le mot "Démocratie" ne devienne lui aussi chargé négativement...
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spered dieub Le Mercredi 22 février 2017 22:34
Si régionalisme est un gros mot ,il faudrait demander des comptes à titre posthume à la première organisation politique qu'était l'union régionaliste bretonne ,pas très républicaine ,plutôt même royaliste et ultra conservatrice ,au point que au début des années 1900 il y a eu une première scission ,puis des plus radicaux très à gauche ont créé le premier parti nationaliste breton en 1911 .Il n'empêche que l'urb en son temps a eu le mérite d'exister et a à sa manière défendu la Bretagne .Le premier opposant à sa partition (projet Daladier prélude au décret de Vichy) a d'ailleurs été son président le marquis de l'Estourbillon .Le PAB lui a été créé il me semble en 1927 ? toujours est t-il que, à la fin de chaque congrès deux hymnes étaient entonnés ,le bro goz et l'internationale ,c'était du temps ou le seul parti français qui soutenait les revendications bretonnes était le PCF .
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