L'état du gallo aujourd'hui - Magazine de société en gallo
Annonce de Galoweb
Publié le 14/07/22 15:24 -- mis à jour le 16/07/22 08:20
L'état de la langue gallèse - 4 minutes de temp : Eyou qe n-n'ét le galo ao jou d'anet, vaila de cai qe j'alons vaer o Vassili. N’i araet bétôt 191.000 caoze-galo en Bertègn ! Le chiffr-la s’orine de la dâraine encerche sociolinghistiqe qemandée par la Rejion Bertègn en 2018.
Réalisation : Galoweb
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Dans quel état est le gallo aujourd'hui ? C'est ce que nous allons avoir avec Vassilli qui nous emmène découvrir les résultats de l'enquête sociolinguistique menée en 2018 sur l'état de la langue gallèse.
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191.000 personnes parlent gallo en Bretagne ! C’est le chiffre ressorti de la dernière enquête sociolinguistique commandée par la Région Bretagne en 2018.
Le premier numéro du magazine de société en gallo "4 minutes de temp", présenté par Vassilli et proposé par Galoweb.
Voir aussi :
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A vrai dire, c'est un français rural, avec un accent marqué et quelques variations phonétiques: "ben", "chercheu"... Pas de quoi parler de langue. Etes-vous en train de créer une pseudo-langue gallèse artificielle pour récupérer des subventions? Il y a certes aussi un néo-breton que les bretonnants authentiques ont du mal à comprendre, avec son accent français et ses mots chimiques ("emzalc'h, aergelc'h, sevenadur", embregerzeh"...), mais il me semble que ce 5ème dialecte (comme si on n'en avait pas assez avec 4) est quand même plus proche du breton que ce "gallo" l'est de celui de cette vidéo.
Le gallo est donc un patois du français langue d'origine romane. Les patois sont sympathiques et sont témoins des échanges nombreux aux frontières en particulier.
La Bretagne comme d'autres régions a des singularités qu'il est nécessaire d'évoquer clairement pour nous, nos régions voisines, les générations suivantes. Repères clairs pour la Bretagne : mer, rivières, granit, histoire, culture,
une langue le breton, langue celtique ( avec des variantes) : en lien avec divers mouvements de population et échanges commerciaux nombreux avec les pays celtiques
et un patois français le gallo bien compréhensible au vu de la proximité de la France.
C'est la réalité. Tout va bien. Mais attention cependant et je suis en accord total avec Kerbarh sur un autre fil. qui nous dit « si la plupart des acteurs promouvant le gallo sont sincères ,dans l'ombre se dissimulent des forces introduisant un cheval de Troie au sein de la culture bretonne avec une volonté de nuire»
Côté Kerbarh pas de remarque mais sans doute est-il du même avis ?
En ce qui me concerne, je ne suis plus d'accord pour soutenir ce genre de constat:
Ul lodenn vat eus ar re gozh o deus kollet stummoù kozh ar brezhoneg ' zo: da skouer an dreist-ambilh pe an anaforenn! Lod tud n'anavezont ket mui frazennoù a-seurt gant : "ar vartoloded a zo kalet o buhez". Koulskoude ez eo ar stumm-mañ unan a vez kavet alies e brezhoneg pell a-walc'h eus ar galleg justamant... Pezh zo e vez klevet un "hesoniezh" vrav gant ar re gozh. Klevet e vez spered ar yezh ganto, ul lusk a-feson un taol mouez kreñv ha kement zo... Anat eo. Met! Toulloù zo gant ar re gozh memestra a zo da vezañ stanket. Stummoù kozh a vez degaset d'ar vrezhonegerien nevez gant ar peurunvan...Da lavarout eo traoù bet kollet dre an amzer ha levezon ar galleg ivez ( da skouer ar verb kaout a vez graet re gantañ = spered galleg)...Ar peurunvan a zo a-bouez. Ret eo lakaat an dud da zegemer ar peurunvan a-benn pinvidikaat ar yezh komzet...hag ar re yaouank o vrezhonegiñ da zispenn roudoù ar brezhoneg komzet... Stankañ an troc'h etreoadvezhel bet toullet a zo d'ober; Ur fazi bras eo lezel ar re gozh a-gostez evel ma z' eo ur fazi ken bras-all teuler drez ouzh ar re yaouank. Tud zo a zo danterien ar brezhoneg hag o fal dezho eo minellañ ar brezhoneg ar muiañ posupl.
Liveoù disheñvel a zo ' ba ar brezhoneg evel ma' z eus er yezhoù-all. Ar brezhoneg lennegel evel hini en-dro d'an ti... pep hini a zo e flas o klokaat ar brezhoneg.
Sur eo eo bet kollet kalz traoù gant ar re gozh, 'blam ne gomzint ket awalc'h ken. Dalc'homp un aksañ breton, un nebeut pozhioù modern matres, dav eo ober ur vrañsiel. Med klevet 'm eus alies ha n'eo ket kap tud Diwan Karaez da gaozeal gant tud Karaez, pezh eo trist.
Idem ! Moi qui comprends parfaitement le patois - pardon, le gallo ! - du pays de mes grands-parents, j'ai eu comme qui dirait quelques difficultés à la première écoute de cet étrange sabir. J'ai donc à nouveau eu cette désagréable et mesquine impression que les défenseurs et les promoteurs du gallo se donnent du mal pour nous faire accroire que le gallo, à l'écrit dorénavant peut-être plus qu'à l'oral d'ailleurs, est une langue, une vraie de vraie, à l'instar des autres langues comme l'anglais, le breton ou... le français ! Ils en deviennent presque touchants à force.
Je suis certain que des linguistes me prouveront scientifiquement qu'il s'agit bien d'une langue, mais enfin, à titre personnel, jamais - je dis bien jamais- il ne m'est venu à l'esprit, lorsque j'entendais mes grands-parents et ceux du pays s'exprimer, qu'ils parlaient une autre langue que le français. Un français déformé en quelque sorte, un français un tantinet bizarre à mes oreilles d'enfant de la ville rendant visite aux aïeux, mais un français de la campagne que les premiers concernés nommaient eux-mêmes « patois ». J'aurais bien fait rire mes grands-parents si je leur avais dit qu'ils parlaient une langue spécifique qu'il faudrait défendre et perpétuer.
Ajout : un bon point pour le « r » roulé. Voilà qui me fait plaisir ;)
Thank a lot.
Ceux qui commentent, qui sont gallos, et soutiennent que le gallo n'est pas une langue mais un français déformé en gros, savent-ils qu'il y a peu la réalité laissait encore clairement apparaître ce qu'on appelle le continuum linguistique, dans ce cas roman. C'est-à -dire que différentes langues ou dialectes (peu importe le terme) se succédaient au fur et à mesure des territoires, laissant apparaître de façon progressive des différences tant syntaxiques que phonétiques, de la Bretagne jusqu'au Portugal par exemple. Ce n'est qu'avec l'avènement des états-nation et donc l'établissement comme "langues nationales" des dialectes des "élites" que se sont dressés des frontières linguistiques. C'est ainsi que des gens qui vivent à quelques kms mais séparés par une frontière sont capables de ne pas se comprendre s'ils n'apprennent pas la langue de l'autre alors qu'à l'origine ils parlaient sûrement des dialectes très proches...
Penser que le gallo est un français déformé est en soi une manipulation mentale, il faut en être conscient. Ensuite qu'il faille ou non le protéger et le faire perdurer, c'est là la décision des gallos.
Daoust da grouidigezh an nevezc'her chimik "gallaoueg" e chom an traoù evel m'emaint : galleg zo galleg.
Ha perak, Loeiz, e kredit digeriñ ho kenoù evit komz eus aferioù ar Vretoned ? Hon aferioù eo, ne sellont ket ouzhoc'h.
Ar pezh a lavaran amañ eo: Perak n'eo ket posubl e Bro-c'hall kaout disheñvel rannyezhoù e-kichen ar galleg "standard"? E broioù all, n'eus ket kudenn gant se. A wechoù, evit kompren hon aferioù, gwell eo sellout ouzh lec'hoù all ivez. Hag ya, sur eo evit ar brezhonegerien, gallaoueg ha galleg e oa ar memes tra, rak disheñvel-tre int diouzh brezhoneg.
Met evel lavaren a-raok: ar gallaoueg hag e zazont zo an afer eus an dud eus Breizh Uhel. Gwir eo.
Ur yezh estren eo ar galleg e Breizh, an holl a oar an dra-se, ha tonket eo da vont da get evit lezel ar plas d'ar brezhoneg. Ma ne blij ket dit e c'hellez mont kuit da Bariz.
embregerezh 1821, embreger XVIe siècle
emzalc'h 1924, identique au gallois
musik 1499, emprunt au français
sevenadur 1924
sonerezh 1732
(d'après Albert Deshayes)
Fichtre ! J'espère que vous n'allez pas non plus jusqu'à badigeonner de peinture des inscriptions en breton à l'occasion ;)
Le fait, que des élus nationalistes corses seraient reçus Place Beauvau, a servi à Monsieur Benjamin Morel pour discuter l’information et émettre un avis négatif sur cette décision politique, et exprimer tout son désaccord. Désaccord partagé et prolongé par une élue inamovible d’un parti parisien, et une timide défense des régions par Robert Ménard.
Info ensuite utilisée par B.Morel pour dénoncer dans d’autres régions des velléités « indépendantistes », qui pourraient se développer un peu partout en France en citant surtout la BRETAGNE, faisant planer les schémas négatifs qui pourrait être revendiqués, qui voudraient remettre question la belle unité française !
La coïncidence de cette séquence/intervention sur LCI, avec celle initiée ici par Brezhoweb depuis quelques jours, pourrait laisser penser qu’à Paris, « le coin gallo » peut être enfoncé depuis Paris ! Entre les Bretons encore, jusqu’à présent ?
Si cela était, alors Peuple Breton des Pâtis et du Kornog, reprends vite tes esprits bretons, ou plutôt fais-le retrouver à ceux des tiens qui s’égarent sans précautions, sans avoir pensé aux conséquences…Ou peut-être que si après tout ?
Sant Meven, eus Penn ar Bed betek ar Gwilen, pedit evito ! (Saint Méen, du Finistère à l’Ille et Vilaine, priez pour eux !). Et pour la vieille BRETAGNE !
Just awalc'h, ma eo bet tennet "aergelc'h" hag "emzalc'h" eus yezhoù keltiel all eo brezhoneg chimik an dra-se: n'eo ket bet graet en un doare naturel gant an dud pad c'hantvejoù... Krouet eo bet ar pochoù-se gant gwalarnerien. Giz 'n eus laret din Fañch Morvannou pa oa marv Roparz Hemon: "Dec'h eo aet d'an Anaon un den a ne ouie ket kaozeal e brezhoneg"! Med ne oa ket tener Morvannou evit ar vrezhonegerien all...
Dont a ra kalz pochoù all deus ar galleg: tok, chupenn ("jupe"), botoù, koef, horolaj, tour... pe deus al latin: "tabula
Si le gallo n'a rien à voir là-dedans, peut-être l'influence du Cap Caval, autre nom pour Penmarc'h.
Cheval vient du gaulois caballos, lui-même issu du turc ancien keväl.
Dont a ra ur bern pozhioù deus ar galleg: tok, botoù, chupenn (jupe), liñsel, ha "gador" deus ar gregach: "khatedra, gadedra, gador", daol" deus al latin: "tabula, taola, taol"... N'eo ket mezus an dra-se. Gwelloc'h eo implijañ pozhioù heñvel ouzh ar galleg gant ur muzik breton eget pozhioù chimik gant ur muzik gall, giz ma vez klevet gant Roudour, Stumdi, Dao hag all...
ar referens nemetken a oa : galleg, galleg , galleg , al liamm gant tud skiantek diwar benn ar brezhoneg (hag ar saozneg koz) a oa kollet penn da benn .
n'eo ket fall dam sonj, mont en dro etrezeg yezou keltiek all. echuet oa an "huis clos" gant ar galleg .
(voir le site)
(voir le site)
La Bretagne qui est déjà coupée en deux (entre la région administrative et la Loire-Atlantique), va bientôt être coupée en quatre! Pour éviter cela, voici ce que je propose : créer le gallon, une langue unificatrice qui serait un mélange de breton et de gallo... Nan, j'déconne!
Barzh ar c'hazetenn "Ya" bez eus Gallaoueg , ur bajenn , deurus(= dedennus) eo da intent meizantoù deuet ar Breizh Uhel , arnodin(temptan ) a ran strivoù evit gomprenn al langach-man gant blijadur ( Patrig Deriano da skouer a skriv pennadoù ennan gant kealoù dishenvel. Mat tre !) Revil(= bri) evit ar re a ober un dra bennaket evit ar sevenadur ...
A-enep , skoran a ran (= harpan ) ar re e-touesk ar vrezhonegerien evel Erwan ar Gal a ra gant gerioù nevez evit aesan an zeskidi e vrezhoneg a -vreman . Chom asav da implij gerioù deuet ar galleg . Digorit ar geriaoueg !
Da skouer : asembles skrivet assembles a-wezhou , sambles hag all , dibabit alato a-stroll , a-gevret . Trist = skeudig Doanik gerioù gozh zo gwelloc'h !
10% des gens en Sud-Cloire (incluant Clisson) déclarent entendre parler gallo au moins une fois par mois. Qu'est-ce qui vous permet d'affirmer le contraire ?
mais linguistiquement le "mainois"(Mayenne) est plus proche du parler du Rennais que du parler nantais .
la linguistique c'est de la politique ......
Si ce que vous dîtes est vrai, j'ai du mal à comprendre le pourquoi du nom gallo alors. On parle de français du Canada ou du français de Suisse, car au final c'est la même langue et seul le pays "politique" change et justifie cette variété du français. Mais ici ce n'est pas cela, cela recoupe les différentes variétés romanes que l'on trouve sur un territoire, sans pour autant que ces variétés soient exclusives au territoire.
Ça devient compliqué à suivre, un nom comme "britto-romand" serait probablement plus pertinent, mais même là cela laisse à penser que c'est un ensemble cohérent, alors qu'en fait non...
la langue est éminemment politique en Bretagne, et les militants bretons ont créé un calque du breton, qui est le gallo.
en gros pour caricaturer le coeur du gallo c'est une region entre 22 et 35 et 56.
et comme il fallait faire "breton" on a considéré que tous les parlers romans de Bretagne (B5) éteient le gallo .
Après les parlers sont tellement proches entre gallo rennais / angevin / nantais que ce n'est pas farfelu.
Mais ces parelers ne s'arretent pas a la limte de la Bretagne .
Personnellement je suis très circonspect sur la tournure des choses actuellement en ce qui concerne le gallo .
On est en train d'ériger une normalisation de la langue, parfois avec des choix plus que douteux (on pernd le mot
le plus éloigné du français), mais je me repete : la langue c'est de la politique , en Bretagne en tout cas ......
Personnellement je suis contre des décisions d'affihage de trilinguisme à l'échelle de la Bretagne ou des départements et contre un trilinguisme automatique et quasi officiel : on ne peut pas improviser une ^politique linguistique sans démocratie, là ce n'est le fait que de tractations entre associations, influences diverses sur les lieux de pouvoir régionaux .
Peut être faudrait il sérieusement définir quelquechose au niveau linguistique en Bretagne, quelquechose de bien défini .
et bien le gallo voudrait faire l inverse , faier en sorte que l'expression orale soit la norme écrite .
j'ajoute que les locuteurs du Joual sont un peu dans la meme situation que les locuteurs de "patois" : on les raille, on les admoneste de bien parler etc ..bref c'est un français de Paris "imposé" au Québec.
evel : présentiel da skouer .
N'on ket a-du gant gerioù evel posubl gant galleg posubl pe system gant système (= kenreizhiad , interesant = deurus , dedennus , statud = dezvat , trist = doanik= skeudig barzh ar geriaoueg brezhoneg , , visitin = gwelladenin = visiter , asambles = a-gevret , a -stroll = serr ha serr ....ensemble ; dija = endeo .....A-wezhou ar brezhonegerien a zo droch , rannan a reont ar yezh ar brezhoneg deuet ar bobl , ar re gozh , ar re yaouank , an dud desket vat , arroutet ....
Bez ez ur yezh !
Divi on da glevet an dud da glemmichan , ret eo da ober strivoù evit ober gant gerioù skrivet barzh ar geriaoueg evel "al Liamm " , Merser ", "Favereau" . Dizolein a reomp gerioù diforc'h .
Re gerioù galleg alies zo implijet ha skrivet gant an dud , lennan a ran pennadig , davenell pe levrioù , leun a gerioù tapet hep striv e-touesk ar gerioù galleg . Re aes ! Brizh brezhoneg zo c'hoarzh ganin hogen (mez , met) brezhoneg saout Nann !
Je ne comprends plus cette attitude de critique permanente des sachants , pour ma part je suis un apprenant , un apprenti permanent en breton et je ne sais que peu de chose.Il me reste beaucoup à faire .sur le sujet ...
Si chaque fois , je découvre un mot nouveau en breton et qui ne ressemble pas au français je l'utilise car je dois faire un effort pour le retenir et ne pas l'oublier , si j'emploie un mot qui ressemble au français je l'oublierai et je n'aime pas ses mots qui truffent le breton dans les écrits et je ne comprends pas que la langue bretonne et les Breton(ne)s ne puissent pas créer des mots nouveaux ce dont la langue française ne se prive pas pour s'adapter ...aux situations nouvelles .
Le gallo est une variante du vieux français ou bas latin et déborde les "frontières "des 5 départements bretons , nous éprouvons déjà des difficultés pour maintenir le breton , quant à la notion de Pays Gallo çà veut dire que c'est autre chose que la Haute Bretagne , le Maine aussi par exemple ... Ce qui n'est pas juste historiquement .Les frontières linguistiques de 1886 Ligne Loth n'ont plus aucun sens en raison de la francisation de la Bretagne ....
Par ailleurs , si je ne connais pas un mot breton , je fais avec un mot français en premier lieu ensuite je cherche dans le dico .
C'est donc une réappropriation d'un mot que je conserverais en esprit et je ne l'oublierai pas . Gourjad .
Employons des mots bretons et partageons avec les autres , "pour ma part je les recevrai comme un cadeau et une joie certaine "car du progrès il m'en reste à faire dans le domaine . Je n'ai pas de leçon à donner aux autre non plus ," j'ai fait l'ENO c'est à dire l'école normale ouvrière " c'est que j'avais répondu à mon directeur d'établissement surpris par ce terme lors d'une rencontre sur un chantier de travail .
Un den uvel on .
Ken kalonnek evit pep hini !
Xavier