Le matin, il fait l'historique de l'école Diwan et égratigne au passage les municipalités qui ont fait vivre des années difficiles à l'école : "l'image de Quimperlé n'en sort pas grandie",
Par Fanny Chauffin pour ABP le 21/09/09 11:41
pennec.mov
Le matin, il fait l'historique de l'école Diwan et égratigne au passage les municipalités qui ont fait vivre des années difficiles à l'école : "Et l'image de Quimperlé n'en sort pas grandie", il fait de l'humour avec les quelques communes (14 communes dont sont originaires les enfants) qui ne paient pas un centime pour un service bilingue qu'elles ne remplissent pas, alors qu'elles ont signé la charte...
Tel Charlie Chaplin, il ironise sur son peu d'aisance à l'oral, avec tous ses papiers qui volent, détendant l'atmosphère et nous montrant qu'un maire, finalement, c'est un homme comme les autres ... L'après-midi, à trois reprises, et sous la pluie à la fin, il va faire visiter l'hôpital Frémeur à plus de 120 visiteurs passionnés pour les journées du patrimoine "si vous trouvez un mécène, je suis preneur ... Il faut sauver le dernier hôpital médiéval de Bretagne". Et le soir, il part à Poullaouen, nuit de la gavotte oblige. C'est pas un maire actif, ça ?
Youtubeuse, docteure d'Etat en breton-celtique à l'Université Rennes 2 / Haute Bretagne, enseignante, militante des droits humains à Cent pour un toit Pays de Quimperlé, des langues de Bretagne avec Diwan, Aita, GBB, ...., féministe, enseignante, vidéaste, réalisatrice, conteuse, chanteuse, comédienne amateure, responsable depuis vingt ans du concours de haikus de Taol Kurun, des prix littéraires Priz ar Vugale et Priz ar Yaouankiz, ...